« Il était très attendu. Emmanuel Macron vient de dévoiler son programme économique dans une interview aux Échos. Un programme ensuite détaillé par ses experts aux journalistes, explique un article en ligne du journal Le Point, qui ajoute : Et le candidat de En marche ! a exposé une stratégie bien équilibrée entre un plan d'économies pour réduire les dépenses publiques et la nécessité largement reconnue par les économistes d'investir pour augmenter le potentiel de croissance à moyen terme. »
L’article précise qu’Emmanuel Macron veut profiter des taux d'intérêt bas tant qu'il en est encore temps pour investir 50 milliards d'euros sur quatre ans dans l'économie française à partir de 2018, avec une courbe « en forme de cloche » : « La montée en puissance sera progressive, puis le plan sera progressivement mis en extinction vers la fin du quinquennat, quand les réformes de fond commenceront à produire leurs effets. »
L’article précise qu’Emmanuel Macron veut profiter des taux d'intérêt bas tant qu'il en est encore temps pour investir 50 milliards d'euros sur quatre ans dans l'économie française à partir de 2018, avec une courbe « en forme de cloche » : « La montée en puissance sera progressive, puis le plan sera progressivement mis en extinction vers la fin du quinquennat, quand les réformes de fond commenceront à produire leurs effets. »
Pas de plan de relance massif par la consommation
Cependant, l’ancien ministre de l’Economie se refuse à « un plan de relance massif par la consommation, comme le prônent ses concurrents de gauche ». Philippe Martin, professeur d'économie à Sciences Po, souligne dans le Point : « L'année dernière, les importations ont progressé trois fois plus vite que le PIB ».
En effet, Emmanuel Macron « veut à tout prix respecter les règles budgétaires afin d'être en position de réformer l'Europe grâce à une alliance avec l'Allemagne » explique l’article, qui précise : il « s'engage donc à rester sous 3 % de déficit public dès 2017. C'est le seul des prétendants à l'Élysée qui tient cette logique de sérieux budgétaire, si importante aux yeux de Berlin. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
En effet, Emmanuel Macron « veut à tout prix respecter les règles budgétaires afin d'être en position de réformer l'Europe grâce à une alliance avec l'Allemagne » explique l’article, qui précise : il « s'engage donc à rester sous 3 % de déficit public dès 2017. C'est le seul des prétendants à l'Élysée qui tient cette logique de sérieux budgétaire, si importante aux yeux de Berlin. »
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