Free lance un dispositif pour accompagner ses clients
À la suite de la cyberattaque massive qui a compromis les données personnelles de millions de clients, Free a mis en place un numéro vert gratuit, le 0 805 921 100, disponible tous les jours de 9h à 18h. Ce service vise à aider les victimes en leur fournissant des conseils pour protéger leurs informations contre les tentatives de fraude et de phishing.
La CNIL et l’ANSSI suivent de près la cyberattaque dont a été victime l'opérateur tout en veillant à ce que Free respecte ses obligations légales en matière de protection des données, notamment en vertu du RGPD. Selon la loi, Free doit informer ses clients de toute violation et les assister dans la sécurisation de leurs informations. La CNIL recommande également aux abonnés de Free de vérifier régulièrement leurs comptes bancaires et de signaler tout débit suspect.
La CNIL et l’ANSSI suivent de près la cyberattaque dont a été victime l'opérateur tout en veillant à ce que Free respecte ses obligations légales en matière de protection des données, notamment en vertu du RGPD. Selon la loi, Free doit informer ses clients de toute violation et les assister dans la sécurisation de leurs informations. La CNIL recommande également aux abonnés de Free de vérifier régulièrement leurs comptes bancaires et de signaler tout débit suspect.
Des millions de clients concernés
Le 28 octobre 2024, Free a subi une cyberattaque massive qui a exposé les données d'environ 20 millions de clients. Figurent parmi les informations dérobées par les pirates : les noms, prénoms, adresses, numéros de téléphone, ainsi que 5,11 millions de numéros d’IBAN.
Environ 100 000 IBAN auraient déjà été mis en vente sur le dark web pour plus de 160 000 euros, rapportent nos confrères de Clubic, faisant craindre des tentatives de fraude bancaire et une usurpation massive d'identités. La Brigade de Lutte Contre la Cybercriminalité a ouvert une enquête pour identifier les responsables et combler les failles de sécurité de l'opérateur.
Environ 100 000 IBAN auraient déjà été mis en vente sur le dark web pour plus de 160 000 euros, rapportent nos confrères de Clubic, faisant craindre des tentatives de fraude bancaire et une usurpation massive d'identités. La Brigade de Lutte Contre la Cybercriminalité a ouvert une enquête pour identifier les responsables et combler les failles de sécurité de l'opérateur.