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La Commission européenne a appuyé les prévisions du gouvernement à propos de la croissance de la France.
Un article en ligne du journal Le Point souligne la position de la Commission à propos de la croissance française.
Un article en ligne du journal Le Point souligne la position de la Commission à propos de la croissance française.
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L’article du Point explique que « la Commission européenne conforte les prévisions de croissance du gouvernement. Selon ses traditionnelles prévisions économiques d'automne, la France devrait enregistrer un PIB en hausse de 1,1 % cette année, 1,4 % en 2016 et 1,7 % en 2017, quand le ministère des Finances table sur une croissance de 1,1 % cette année, 1,5 % en 2016 ainsi qu'en 2017. »
Ainsi, « Bruxelles croit donc Paris en mesure de respecter les objectifs de réduction des déficits qu'elle lui a fixés pour cette année et l'année prochaine (3,8 % en 2015 et 3,4 % en 2016). Bercy table toutefois sur 3,3 %. » L’article ajoute que « pour 2017, la Commission européenne prévoit un déficit de 3,3 %, bien au-dessus du fameux 3 % demandé, mais il s'agit d'une prévision qui ne tient pas compte de l'intégralité des futurs efforts qui seront contenus dans le budget 2017. »
Cité par Le Point, Valdis Dombrovskis, le vice-président de la Commission européenne en charge de l'euro a déclaré : « Nous saluons l'engagement pris par le gouvernement français d'atteindre l'objectif fixé de porter le déficit en dessous des 3 % en 2017. »
Dans un communiqué, Michel Sapin a quant à lui affirmé que « s'agissant de 2017, la Commission se livre – comme elle en a l'usage – à un exercice conventionnel, dit à politique inchangée, dont le résultat signifie simplement que le déficit ne reviendra pas spontanément sous les 3% en 2017. »
Le ministre a jouté que « c'est pour cela que des économies sont prévues pour tenir l'objectif fixé par le gouvernement » et que « le gouvernement confirme son engagement à mettre en œuvre en 2017 la troisième étape du plan d'économies (15,4 milliards dans le plan d'économie de 50 milliards) comme le savent les commissaires européens, MM. Dombrovskis et Moscovici, qui se sont exprimés en ce sens. »
Ainsi, « Bruxelles croit donc Paris en mesure de respecter les objectifs de réduction des déficits qu'elle lui a fixés pour cette année et l'année prochaine (3,8 % en 2015 et 3,4 % en 2016). Bercy table toutefois sur 3,3 %. » L’article ajoute que « pour 2017, la Commission européenne prévoit un déficit de 3,3 %, bien au-dessus du fameux 3 % demandé, mais il s'agit d'une prévision qui ne tient pas compte de l'intégralité des futurs efforts qui seront contenus dans le budget 2017. »
Cité par Le Point, Valdis Dombrovskis, le vice-président de la Commission européenne en charge de l'euro a déclaré : « Nous saluons l'engagement pris par le gouvernement français d'atteindre l'objectif fixé de porter le déficit en dessous des 3 % en 2017. »
Dans un communiqué, Michel Sapin a quant à lui affirmé que « s'agissant de 2017, la Commission se livre – comme elle en a l'usage – à un exercice conventionnel, dit à politique inchangée, dont le résultat signifie simplement que le déficit ne reviendra pas spontanément sous les 3% en 2017. »
Le ministre a jouté que « c'est pour cela que des économies sont prévues pour tenir l'objectif fixé par le gouvernement » et que « le gouvernement confirme son engagement à mettre en œuvre en 2017 la troisième étape du plan d'économies (15,4 milliards dans le plan d'économie de 50 milliards) comme le savent les commissaires européens, MM. Dombrovskis et Moscovici, qui se sont exprimés en ce sens. »