Éditorialistes & Contributeurs
Corporate management
Source : Pixabay, image libre de droits.
L’article souligne ainsi que « partout dans le monde, dans toutes les langues, certaines de nos PME deviennent des championnes de l'exportation. »
Un exemple probant, Guillaume Herlin, commercial chez Michel et Augustin dont la ville de New York est devenue son « terrain de jeu » : « Je me déplace avec mes échantillons qui vont me permettre d'appâter le client. J'ai 30,40 unités. » assure-t-il.
L’article ajoute que son défi est de « convaincre les commerçants new-yorkais de vendre ses cookies français », ajoutant que « parfois cela finit par payer » puisque « la marque vient de louer des bureaux à Brooklyn. Onze personnes y travaillent à temps plein. 2 millions d'euros ont été déboursés pour conquérir le marché américain. »
Un exemple probant, Guillaume Herlin, commercial chez Michel et Augustin dont la ville de New York est devenue son « terrain de jeu » : « Je me déplace avec mes échantillons qui vont me permettre d'appâter le client. J'ai 30,40 unités. » assure-t-il.
L’article ajoute que son défi est de « convaincre les commerçants new-yorkais de vendre ses cookies français », ajoutant que « parfois cela finit par payer » puisque « la marque vient de louer des bureaux à Brooklyn. Onze personnes y travaillent à temps plein. 2 millions d'euros ont été déboursés pour conquérir le marché américain. »
Des PME et des stratégies offensives
L’article souligne qu’implantée en Isère, « une entreprise de cinquante salariés fabrique des citernes vendues au Chili, au Soudan ou encore au Vietnam. Son secret pour exporter : faire du sur-mesure. Taille, matière, jusqu'à la matière, tout est personnalisable. Pour exporter plus, ils ne cherchent pas à réduire les prix mais à améliorer la qualité. »
Ainsi, l’entreprise a mis en place « une nouvelle machine qui augmente la solidité de la citerne. » Benoît Balandras, directeur général de ‘Labaronne-Citaf’, explique : « Avec la table et la machine, on est à près de 200 000 euros d'investissement. C'est un avantage d'améliorer la qualité pour faciliter l'exportation. »
C’est pourquoi « les commerciaux supervisent l'installation des citernes jusqu'en Espagne et en profitent pour vendre d'autres citernes. Une stratégie offensive. L'entreprise vend chaque année 4500 citernes dans plus de quarante pays. »
Lire l’intégralité de l’article de France TV Info ici.
Ainsi, l’entreprise a mis en place « une nouvelle machine qui augmente la solidité de la citerne. » Benoît Balandras, directeur général de ‘Labaronne-Citaf’, explique : « Avec la table et la machine, on est à près de 200 000 euros d'investissement. C'est un avantage d'améliorer la qualité pour faciliter l'exportation. »
C’est pourquoi « les commerciaux supervisent l'installation des citernes jusqu'en Espagne et en profitent pour vendre d'autres citernes. Une stratégie offensive. L'entreprise vend chaque année 4500 citernes dans plus de quarante pays. »
Lire l’intégralité de l’article de France TV Info ici.
