Le prix du baril augmente et cela a des conséquences, mais ce n’est pas la cause de tous nos soucis. « Les prix des carburants routiers ont fortement augmenté la semaine dernière pendant la grève chez TotalEnergies qui a provoqué des pénuries, en particulier le gazole, qui a bondi en moyenne de 10 centimes par litre, selon des chiffres du ministère de la Transition écologique communiqués lundi. Le gazole coûtait en moyenne 1,8035 euros par litre, soit 10,79 centimes de plus que la semaine précédente, tandis que la hausse s'élevait à 7 centimes pour le super sans plomb 95 et à 7,29 centimes pour le sans-plomb 95-E10, selon deschiffres arrêtés vendredi dernier » rapporte l’Agence France presse.
Les prix avaient pourtant commencé à augmenter avant les grèves. Mais la situation actuelle est sans commune mesure avec l’augmentation actuelle. « Les prix sont repartis à la hausse depuis fin septembre après des semaines de baisse ininterrompue. Avec une telle flambée, le gazole retrouve des niveaux qu'il n'avait plus atteints depuis fin août, juste avant le relèvement à partir du 1er septembre de la remise à la pompe financée par l'État à 30 centimes par litre, et la mise en place de la ristourne de 20 centimes de TotalEnergies, qui a provoqué un afflux des automobilistes dans ses stations-service. Cette hausse des prix intervient au moment où des pénuries de carburant touchent près d'un tiers des stations du territoire, tous groupes confondus, en raison d'un conflit social dans des raffineries. Cette remontée s'inscrit aussi dans un contexte mondial de hausse des prix du pétrole après la décision du cartel des pays exportateurs et leurs alliés, réunis dans l'Opep, de baisser leur production à venir pour soutenir les cours. Lundi, le baril de Brent est monté à 98,75 dollars et le baril de WTI à 93,55 dollars, des sommets depuis fin août » conclue l’AFP.
Les prix avaient pourtant commencé à augmenter avant les grèves. Mais la situation actuelle est sans commune mesure avec l’augmentation actuelle. « Les prix sont repartis à la hausse depuis fin septembre après des semaines de baisse ininterrompue. Avec une telle flambée, le gazole retrouve des niveaux qu'il n'avait plus atteints depuis fin août, juste avant le relèvement à partir du 1er septembre de la remise à la pompe financée par l'État à 30 centimes par litre, et la mise en place de la ristourne de 20 centimes de TotalEnergies, qui a provoqué un afflux des automobilistes dans ses stations-service. Cette hausse des prix intervient au moment où des pénuries de carburant touchent près d'un tiers des stations du territoire, tous groupes confondus, en raison d'un conflit social dans des raffineries. Cette remontée s'inscrit aussi dans un contexte mondial de hausse des prix du pétrole après la décision du cartel des pays exportateurs et leurs alliés, réunis dans l'Opep, de baisser leur production à venir pour soutenir les cours. Lundi, le baril de Brent est monté à 98,75 dollars et le baril de WTI à 93,55 dollars, des sommets depuis fin août » conclue l’AFP.