Dans quelle entreprise il fait bon vivre ? Surement dans celles où les manageurs se posent cette question. Plus précisément les facteurs sont multiples mais on peut tout de même déceler quelques recettes qui fonctionnent. Le palmarès des entreprises où il fait bon travailler en France montre par exemple que la possibilité de trouver un équilibre entre vie privée et vie professionnelle est fondamental.
« Désormais, les entreprises de plus de 50 salariés ont l'obligation d'ouvrir des négociations afin de réguler l'utilisation des outils numériques au bureau. Un droit à respirer qui séduit, sur le papier, autant les salariés que les patrons eux-mêmes. 80% d'entre eux pensent ainsi que c'est une bonne mesure pour leur société, d'après le baromètre OpinionWay-Banque Palatine pour Challenges » explique ce magazine.
La tentation a beau être forte de solliciter en permanence ses collaborateurs sur des dossiers urgents ou les tenir au courant en temps réel des dernières évolutions, le manager doit veiller à ne pas exercer une pression intenable sur ses collaborateurs. Montrer dans les faits que l’on sait que chaque salarié a une vie personnelle et des priorités propres est une des clés du travail d’équipe sain et fructueux.
La meilleure démonstration de ce phénomène c’est que les entreprises qui veillent le plus à ce que la vie professionnelle n’empiète pas sur la vie privée des collaborateurs sont bien classées dans le palmarès bien-être au travail. « C'est devenu inéluctable en entreprise. Il y a une forte demande pour un meilleur équilibre vie privé et professionnelle, quel que soit l'âge. Dans beaucoup d'entreprises labellisées Great Place to work, il est interdit de programmer une réunion après 18 heures et l'accès aux mails est coupé le week-end » explique à Challenges Patrick Dumoulin, le directeur général de Great Place to work.
« Désormais, les entreprises de plus de 50 salariés ont l'obligation d'ouvrir des négociations afin de réguler l'utilisation des outils numériques au bureau. Un droit à respirer qui séduit, sur le papier, autant les salariés que les patrons eux-mêmes. 80% d'entre eux pensent ainsi que c'est une bonne mesure pour leur société, d'après le baromètre OpinionWay-Banque Palatine pour Challenges » explique ce magazine.
La tentation a beau être forte de solliciter en permanence ses collaborateurs sur des dossiers urgents ou les tenir au courant en temps réel des dernières évolutions, le manager doit veiller à ne pas exercer une pression intenable sur ses collaborateurs. Montrer dans les faits que l’on sait que chaque salarié a une vie personnelle et des priorités propres est une des clés du travail d’équipe sain et fructueux.
La meilleure démonstration de ce phénomène c’est que les entreprises qui veillent le plus à ce que la vie professionnelle n’empiète pas sur la vie privée des collaborateurs sont bien classées dans le palmarès bien-être au travail. « C'est devenu inéluctable en entreprise. Il y a une forte demande pour un meilleur équilibre vie privé et professionnelle, quel que soit l'âge. Dans beaucoup d'entreprises labellisées Great Place to work, il est interdit de programmer une réunion après 18 heures et l'accès aux mails est coupé le week-end » explique à Challenges Patrick Dumoulin, le directeur général de Great Place to work.