Si le secteur spatial se transforme en secteur économique, SpaceX se positionne en dominant. « Pour ce qui était déjà le troisième décollage de la fusée Falcon 9 cette année, l'entreprise installée à Hawthorne s'était lancée un défi : réussir à embarquer un maximum de satellites pour un « rideshare », un vol mutualisé avec un dispositif central sur lequel tous les véhicules sont attachés pour le décollage puis éjectés une fois en orbite. Et l'entreprise n'y est pas allée par quatre chemins, n'hésitant pas à tronçonner les prix pour attirer les clients : 1 million de dollars environ pour envoyer quoi que ce soit pesant moins de 200 kg, avec un décollage garanti tous les quatre mois environ et un remboursement partiel voire total s'ils ne tiennent pas la date. Pour ce décollage, ce sont donc 143 satellites qui se partageaient l'espace sur le grand dispositif central (dont 10 unités Starlink, puisqu'il restait un peu de place). Le décollage a eu lieu de 24 janvier à 16 h (Paris) » explique Clubic.
La compagnie du milliardaire Elon Musk rend possible les ambitions de nombre d’entreprises ou États qui souhaitent développer des activités qui nécessitent l’utilisation d’un satellite. « Pour les opérateurs de constellations en place, ce genre de vol en commun est une bénédiction qui leur évite d'avoir à acheter des places sur des lanceurs plus petits, qui leur offrent des orbites parfois plus intéressantes mais à un coût plus élevé. On retrouvait donc sous la coiffe quelques noms bien connus : Planet Labs (48 satellites SuperDoves), Iceye (3 satellites radar), Spire (8 satellites Lemur), Swarm (23 satellites SpaceBEE)… Toutefois, et malgré des données de suivi mises à jour très rapidement, ce genre de vol relève du casse-tête pour les organismes qui identifient et cataloguent les objets en orbite. Un CubeSat est très difficile à identifier par rapport à un autre lorsqu'ils ne sont distants que de quelques mètres » explique le site spécialisé.
La compagnie du milliardaire Elon Musk rend possible les ambitions de nombre d’entreprises ou États qui souhaitent développer des activités qui nécessitent l’utilisation d’un satellite. « Pour les opérateurs de constellations en place, ce genre de vol en commun est une bénédiction qui leur évite d'avoir à acheter des places sur des lanceurs plus petits, qui leur offrent des orbites parfois plus intéressantes mais à un coût plus élevé. On retrouvait donc sous la coiffe quelques noms bien connus : Planet Labs (48 satellites SuperDoves), Iceye (3 satellites radar), Spire (8 satellites Lemur), Swarm (23 satellites SpaceBEE)… Toutefois, et malgré des données de suivi mises à jour très rapidement, ce genre de vol relève du casse-tête pour les organismes qui identifient et cataloguent les objets en orbite. Un CubeSat est très difficile à identifier par rapport à un autre lorsqu'ils ne sont distants que de quelques mètres » explique le site spécialisé.