La croissance de la France devrait baisser au quatrième trimestre, mais connaitra un nouvel élan début 2016, ce qui permettra au chômage de refluer légèrement, selon les prévisions de l'INSEE publiées jeudi.
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique que « dans sa dernière note de conjoncture, l'Institut national des statistiques et des études économiques table désormais sur une hausse du Produit intérieur brut (PIB) de 0,2% au quatrième trimestre, contre 0,4% prévu jusqu'alors, en ralentissement après le +0,3% du troisième trimestre. »
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique que « dans sa dernière note de conjoncture, l'Institut national des statistiques et des études économiques table désormais sur une hausse du Produit intérieur brut (PIB) de 0,2% au quatrième trimestre, contre 0,4% prévu jusqu'alors, en ralentissement après le +0,3% du troisième trimestre. »
« Aucun impact sur la prévision de croissance pour l’ensemble de l’année »
L’article explique que « la révision à la baisse pour le quatrième trimestre n'aura toutefois aucun impact sur la prévision de croissance pour l'ensemble de l'année, estimée par l'Insee à 1,1%, un "niveau inédit depuis quatre ans" mais qui reste inférieur à celui de la zone euro (1,5%). »
Il ajoute que selon l’INSEE, « le gouvernement table lui aussi sur une croissance de 1,1% en 2015 », ajoutant que « parmi les facteurs ayant amené l'institut de statistiques à réviser son pronostic pour le quatrième trimestre figure l'impact des attentats du 13 novembre à Paris. »
Par conséquent ajoute l’article, « leurs effets sur l'économie - et essentiellement dans les services d'hébergement-restauration, de loisirs et de transport - sont chiffrés par l'Insee à 0,1 point de PIB au quatrième trimestre. » Le Point précise que « l'indicateur de climat des affaires a d'ailleurs légèrement fléchi en décembre, plombé par les secteurs des services et du commerce de détail. »
Le ministre des Finances Michel Sapin a déclaré à l’Agence France Presse : « Les attentats devraient avoir un impact temporaire sur l'activité, limité à certains secteurs : les Français n'ont pas baissé les bras. C'est une bonne nouvelle. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Il ajoute que selon l’INSEE, « le gouvernement table lui aussi sur une croissance de 1,1% en 2015 », ajoutant que « parmi les facteurs ayant amené l'institut de statistiques à réviser son pronostic pour le quatrième trimestre figure l'impact des attentats du 13 novembre à Paris. »
Par conséquent ajoute l’article, « leurs effets sur l'économie - et essentiellement dans les services d'hébergement-restauration, de loisirs et de transport - sont chiffrés par l'Insee à 0,1 point de PIB au quatrième trimestre. » Le Point précise que « l'indicateur de climat des affaires a d'ailleurs légèrement fléchi en décembre, plombé par les secteurs des services et du commerce de détail. »
Le ministre des Finances Michel Sapin a déclaré à l’Agence France Presse : « Les attentats devraient avoir un impact temporaire sur l'activité, limité à certains secteurs : les Français n'ont pas baissé les bras. C'est une bonne nouvelle. »
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