Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique que « depuis la fermeture de l'aéroport de Bruxelles-Zaventem, le 22 mars dernier, la compagnie vit ‘la plus grande crise’ de son histoire. »
En effet, l’article précise que « Brussels Airlines accuse un manque à gagner de cinq millions d'euros par jour depuis la fermeture de l'aéroport de Bruxelles-Zaventem, le 22 mars dernier, après l'attentat-suicide qui a dévasté le hall des départs », selon les informations d’une porte-parole de la compagnie aérienne.
Wencke Lemmes ajoute que la compagnie « vit actuellement ‘la plus grande crise’ de son histoire. »
En effet, l’article précise que « Brussels Airlines accuse un manque à gagner de cinq millions d'euros par jour depuis la fermeture de l'aéroport de Bruxelles-Zaventem, le 22 mars dernier, après l'attentat-suicide qui a dévasté le hall des départs », selon les informations d’une porte-parole de la compagnie aérienne.
Wencke Lemmes ajoute que la compagnie « vit actuellement ‘la plus grande crise’ de son histoire. »
"Un manque à gagner de cinq millions d'euros par jour"
Pour illustrer la mauvaise passe que traverse actuellement la compagnie bruxelloise, l’article souligne que « depuis une semaine, Brussels Airlines a redéployé son activité court et moyen-courrier vers les aéroports d'Anvers et de Liège en Belgique, et utilise ceux de Francfort et de Zurich comme bases pour ses long-courriers, sachant qu'un tiers environ de ses passagers passent d'ordinaire par Bruxelles uniquement en transit (vers l'Amérique du Nord ou l'Afrique) », selon les mêmes informations de Wencke Lemmes.
De plus, selon la porte-parole de la compagnie, « ceux dont la destination finale est la capitale belge sont acheminés en bus depuis Francfort ou Zurich. Seuls 20 des 50 avions de la flotte de la compagnie sont actuellement ‘opérationnels’, pour 5 000 à 6 000 passagers transportés quotidiennement, contre ‘plus de 22 000’ en temps normal ‘et même au-delà en période de vacances’. »
Wencke Lemmes ajoute : « Nous perdons environ cinq millions d'euros par jour, mais nous restons optimistes. Dès qu'on sera de nouveau opérationnels, les passagers devraient revenir (…) On a enregistré en deux ans un bond de 30 % de notre trafic passagers. »
L’article du Point précise qu’ « après quatre années dans le rouge, Brussels Airlines, dont l'allemande Lufthansa est actionnaire à hauteur de 45 %, avait renoué en 2015 avec les bénéfices. À la mi-mars, la compagnie avait annoncé qu'elle avait enregistré un bénéfice net annuel de 41,3 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 1,274 milliard d'euros, en hausse de 6,9 %. Elle emploie quelque 3 500 personnes, dont environ 500 en Afrique. »
Lire l'intégralité de l'article du Point ici.
De plus, selon la porte-parole de la compagnie, « ceux dont la destination finale est la capitale belge sont acheminés en bus depuis Francfort ou Zurich. Seuls 20 des 50 avions de la flotte de la compagnie sont actuellement ‘opérationnels’, pour 5 000 à 6 000 passagers transportés quotidiennement, contre ‘plus de 22 000’ en temps normal ‘et même au-delà en période de vacances’. »
Wencke Lemmes ajoute : « Nous perdons environ cinq millions d'euros par jour, mais nous restons optimistes. Dès qu'on sera de nouveau opérationnels, les passagers devraient revenir (…) On a enregistré en deux ans un bond de 30 % de notre trafic passagers. »
L’article du Point précise qu’ « après quatre années dans le rouge, Brussels Airlines, dont l'allemande Lufthansa est actionnaire à hauteur de 45 %, avait renoué en 2015 avec les bénéfices. À la mi-mars, la compagnie avait annoncé qu'elle avait enregistré un bénéfice net annuel de 41,3 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 1,274 milliard d'euros, en hausse de 6,9 %. Elle emploie quelque 3 500 personnes, dont environ 500 en Afrique. »
Lire l'intégralité de l'article du Point ici.