Un petit mois après Apple, Amazon franchit le seuil symbolique des 1 000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Une somme qui donne le tournis quand on compare avec d’autres acteurs économiques. Les concurrents Français sur la vente en ligne par exemple, géants à l’échelle de l’économie française sont microscopiques en comparaison : Carrefour c’est 12 milliards d’euros et Casino 3 milliards d’euros. Même WalMart, le premier distributeur traditionnel mondial est à des lieux d’Amazon avec 283 milliards de dollars.
Créé en 1994 par l’actuel patron Jeff Bezos, Amazon est le numéro de la vente en ligne dans tous les domaines. Sa boulimie n’a pas de limite et avec des moyens financiers sans commune mesures, qui lui permette de se développer en achetant ou en investissant massivement dans les secteurs identifiés comme porteurs : distribution, production, cloud, technologie etc.
Dans le monde entier, sauf en Chine où des acteurs locaux ont été favorisés et ont imposé leur hégémonie, Amazon a bousculé les ordres établis. « Il a non seulement poussé à la faillite certains distributeurs, dans le livre et dans l'électronique grand public notamment, mais il a contraint toutes les enseignes à réinventer leur modèle économique. Ces acteurs traditionnels n'ont pas toujours été récompensés de leurs efforts par les marchés boursiers: depuis le milieu des années 1990, la capitalisation cumulée des distributeurs cotés en Bourse a longtemps été stable, mais Amazon y a pris une part de plus en plus prépondérante, avant de faire exploser les compteurs » raconte Le Figaro .
Le pari était pourtant risqué et Bezos a tenu bon pour amener son projet au sommet du monde. « Amazon n'a longtemps pas gagné d'argent dans son activité de distribution, donnant à ses rivaux l'espoir que sa stratégie consistant à casser les prix était intenable. Mais Jeff Bezos a su étendre ses activités et se diversifier dans le cloud computing, source de profits. L'ogre de Seattle, désormais rentable (1,8 milliard de dollars pour 178 milliards de chiffre d'affaires l'an passé), a les moyens d'investir pour continuer de révolutionner le commerce (avec son assistant vocal, par exemple) et racheter des acteurs traditionnels » lit-on plus loin.
Créé en 1994 par l’actuel patron Jeff Bezos, Amazon est le numéro de la vente en ligne dans tous les domaines. Sa boulimie n’a pas de limite et avec des moyens financiers sans commune mesures, qui lui permette de se développer en achetant ou en investissant massivement dans les secteurs identifiés comme porteurs : distribution, production, cloud, technologie etc.
Dans le monde entier, sauf en Chine où des acteurs locaux ont été favorisés et ont imposé leur hégémonie, Amazon a bousculé les ordres établis. « Il a non seulement poussé à la faillite certains distributeurs, dans le livre et dans l'électronique grand public notamment, mais il a contraint toutes les enseignes à réinventer leur modèle économique. Ces acteurs traditionnels n'ont pas toujours été récompensés de leurs efforts par les marchés boursiers: depuis le milieu des années 1990, la capitalisation cumulée des distributeurs cotés en Bourse a longtemps été stable, mais Amazon y a pris une part de plus en plus prépondérante, avant de faire exploser les compteurs » raconte Le Figaro .
Le pari était pourtant risqué et Bezos a tenu bon pour amener son projet au sommet du monde. « Amazon n'a longtemps pas gagné d'argent dans son activité de distribution, donnant à ses rivaux l'espoir que sa stratégie consistant à casser les prix était intenable. Mais Jeff Bezos a su étendre ses activités et se diversifier dans le cloud computing, source de profits. L'ogre de Seattle, désormais rentable (1,8 milliard de dollars pour 178 milliards de chiffre d'affaires l'an passé), a les moyens d'investir pour continuer de révolutionner le commerce (avec son assistant vocal, par exemple) et racheter des acteurs traditionnels » lit-on plus loin.