Après deux trimestres consécutifs de pertes, le distributeur en ligne Amazon a renoué avec le positif. Pour la dernière période de 2014, il a enregistré un bénéfice net de 214 millions de dollars. « Le mastodonte américain se paie même le luxe de dépasser nettement les prévisions les plus optimistes des analystes, avec un bénéfice par action ajusté, référence à Wall Street, de 45 cents (contre 17 cents espérés) » ajoute le gratuit 20 Minutes sur son site internet.
« Au total, le chiffre d'affaires du groupe lors des trois derniers mois de 2014 intégrant les fêtes de fin d'année a même bondi de 15% sur un an à 29,33 milliards de dollars. Sur l'année, la progression est de 20% à 88,99 milliards » ajoute l’article.
« Au total, le chiffre d'affaires du groupe lors des trois derniers mois de 2014 intégrant les fêtes de fin d'année a même bondi de 15% sur un an à 29,33 milliards de dollars. Sur l'année, la progression est de 20% à 88,99 milliards » ajoute l’article.
Succès de l’abonnement Prime
Le groupe a expliqué que ce succès était largement dû au succès de l’abonnement payant à ses services. L’offre « Prime » aurait en effet séduit de nombreux utilisateurs à ce service qui, explique Le Monde, « assure l'accès à un catalogue croissant de contenus numériques en ligne et à des livraisons gratuites. »
Enfin, on apprend que pour 2015 le géant de la distribution veut s’attaquer au marché asiatique et particulièrement chinois. A la manière des constructeurs automobiles ou des grands groupes de nouvelles technologies, Amazon est persuadé que sa croissance est dans son appétit. Avis que ne partage pas tous les observateurs. A titre d’exemple, le quotidien Le Monde estime que « la rentabilité d'Amazon pâtit de sa boulimie d'investissements destinés à assurer la croissance du groupe. Au départ simple libraire en ligne, le groupe américain s'est développé au fil des années loin de son métier d'origine en produisant de séries télés ou en fabriquant ses propres appareils électroniques.
Enfin, on apprend que pour 2015 le géant de la distribution veut s’attaquer au marché asiatique et particulièrement chinois. A la manière des constructeurs automobiles ou des grands groupes de nouvelles technologies, Amazon est persuadé que sa croissance est dans son appétit. Avis que ne partage pas tous les observateurs. A titre d’exemple, le quotidien Le Monde estime que « la rentabilité d'Amazon pâtit de sa boulimie d'investissements destinés à assurer la croissance du groupe. Au départ simple libraire en ligne, le groupe américain s'est développé au fil des années loin de son métier d'origine en produisant de séries télés ou en fabriquant ses propres appareils électroniques.