Thierry Préfol, coordinateur adjoint de la CFE-CGC pour Airbus Group assure : « 1 357 postes seront soit supprimés soit transférés, sur un total de 10 000 emplois » dans les services impactés. « Trois autres comités d'entreprise ont récemment eu lieu pour les autres branches, durant lesquels un total de 780 suppressions de postes avaient été annoncées », ajoute un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP.
Thierry Préfol précise : « On pense que la plupart de ces 1 357 postes seront en fait supprimés », en soulignant que la direction est « en train de finaliser » les chiffres, avant la réunion d'un comité européen global.
Thierry Préfol précise : « On pense que la plupart de ces 1 357 postes seront en fait supprimés », en soulignant que la direction est « en train de finaliser » les chiffres, avant la réunion d'un comité européen global.
Une restructuration importante
L’article du Point explique qu’Airbus « a inauguré en fanfare jeudi son plus gros bimoteur, l'A350-1000, destiné à damer le pion au « triple 7 » de Boeing. Des centaines d'employés, de journalistes et de VIP étaient venus applaudir le premier vol d'essai du nouveau venu de la gamme des A350, sous le ciel gris sombre de l'aéroport de Toulouse-Blagnac. »
En outre, « non loin de la piste d'envol, se tenait un nouveau comité d'entreprise, le quatrième en deux mois, qui devait annoncer de nouvelles suppressions de poste au sein du groupe européen, les portant à plus de 1 000, selon les syndicats. »
Il précise que « ce plan entre dans le cadre de la restructuration du groupe qui vise à fusionner l'actuel Airbus, division d'aviation commerciale, au sein d'Airbus Group, qui réunit également les autres filiales dans les hélicoptères, la défense et l'espace. »
La nouvelle société, à naître l'année prochaine, s’appelera « Airbus ». Fabrice Brégier, qui deviendra le nouveau directeur général délégué d'Airbus affirme : « Il s'agit de soutenir, à travers des synergies, les branches défense et hélicoptères. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
En outre, « non loin de la piste d'envol, se tenait un nouveau comité d'entreprise, le quatrième en deux mois, qui devait annoncer de nouvelles suppressions de poste au sein du groupe européen, les portant à plus de 1 000, selon les syndicats. »
Il précise que « ce plan entre dans le cadre de la restructuration du groupe qui vise à fusionner l'actuel Airbus, division d'aviation commerciale, au sein d'Airbus Group, qui réunit également les autres filiales dans les hélicoptères, la défense et l'espace. »
La nouvelle société, à naître l'année prochaine, s’appelera « Airbus ». Fabrice Brégier, qui deviendra le nouveau directeur général délégué d'Airbus affirme : « Il s'agit de soutenir, à travers des synergies, les branches défense et hélicoptères. »
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