Dans un article sur l’immobilier londonien, Le Figaro montre que non seulement les acheteurs étrangers sont à l’origine de presque une transaction sur deux, mais que les Français sont les mieux représentés.
« Les Français représentent la seconde nationalité d’acquéreurs de bien(s) immobiliers dans le centre de Londres, derrière les Anglais. Ils ont réalisé 5% des transactions en 2014, selon l’agence Knight Frank, devant les Italiens, les Russes, les Américains, les Indiens puis les Saoudiens » révèle le quotidien.
Si les prix se maintiennent à des niveaux aussi hauts, c’est avant tout parce que les acheteurs continuent à se ruer sur les quartiers les plus prestigieux de Londres. Situés dans la zone une de la capitale, les appartements vendus à, Chelsea, Knightsbridge, South Kensington ou Notting Hill dépasse pour la plupart la barre du million de Livres.
Loin de baisser ou de se tasser, le marché immobilier est même en progression : « Après la crise financière internationale de 2008, l’immobilier londonien est devenu une valeur hautement spéculative au point de friser la formation d’une bulle. Le marché est en train de s’assainir avec la reprise des investissements des Britanniques. Les prix à Londres ont encore cru de 13% en 2014, mais semblent se stabiliser, voire s’orienter à la baisse dans certains quartiers » décrypte Le Figaro.
« Les Français représentent la seconde nationalité d’acquéreurs de bien(s) immobiliers dans le centre de Londres, derrière les Anglais. Ils ont réalisé 5% des transactions en 2014, selon l’agence Knight Frank, devant les Italiens, les Russes, les Américains, les Indiens puis les Saoudiens » révèle le quotidien.
Si les prix se maintiennent à des niveaux aussi hauts, c’est avant tout parce que les acheteurs continuent à se ruer sur les quartiers les plus prestigieux de Londres. Situés dans la zone une de la capitale, les appartements vendus à, Chelsea, Knightsbridge, South Kensington ou Notting Hill dépasse pour la plupart la barre du million de Livres.
Loin de baisser ou de se tasser, le marché immobilier est même en progression : « Après la crise financière internationale de 2008, l’immobilier londonien est devenu une valeur hautement spéculative au point de friser la formation d’une bulle. Le marché est en train de s’assainir avec la reprise des investissements des Britanniques. Les prix à Londres ont encore cru de 13% en 2014, mais semblent se stabiliser, voire s’orienter à la baisse dans certains quartiers » décrypte Le Figaro.
Français et Italiens mieux que le Russes
D’après les informations du quotidien français, les Français et les Italiens sont de retour sur le marché après une baisse en 2013. Ainsi, 5% des biens sont achetés par des Français, c’est mieux que les Italiens (4%) et les Russes (4%).
Ces chiffres s’expliquent avant tout par la présence très importante des Français à Londres. Nos ressortissants seraient environ 300 000 ce qui explique aussi, continue Le Figaro, que « A la différence d’autres investisseurs, comme ceux du Moyen-Orient ou d’Asie, les Français achètent le plus souvent pour occuper ces biens. »
Ces chiffres s’expliquent avant tout par la présence très importante des Français à Londres. Nos ressortissants seraient environ 300 000 ce qui explique aussi, continue Le Figaro, que « A la différence d’autres investisseurs, comme ceux du Moyen-Orient ou d’Asie, les Français achètent le plus souvent pour occuper ces biens. »