Basée dans le Nord de la France, à Villeneuve-d’Ascq, 52 Entertainment est le fruit d’une histoire qui commence il y a 22 ans, à Hem. Nommée à l’époque Goto Games, la société faisait du software et des jeux. Elle compte alors un chiffre d’affaires de 6 millions d’euros et emploie 20 salariés. Par la suite, la société lance Goto Bridge, un logiciel de jeu de cartes sur ordinateur, qui deviendra Funbridge.com en 2002. Le bridge en ligne deviendra le produit phare de Goto Games.
En 2018, Goto Games est rachetée par le fonds d’investissement français HLD. Jean-Bernard Lafonta, co-fondateur d’HLD, propose alors à Olivier Comte de rejoindre l’aventure en qualité de Directeur. Afin de donner plus d’envergure et de poids au projet, Olivier Comte et Jean-Bernard Lafonta font l’acquisition de l’acteur américain BBO (Bridge Base Online). Le rapprochement entre Goto Games et BBO donne naissance à 52 Entertainment.
L’entreprise est désormais constituée de quatre plateformes de jeux de bridge en ligne (Funbrige.com en Europe, BBO et Great Game Products aux États-Unis, et enfin Bridge Online en Chine). Ajouté à ces plateformes, 52 Entertainment possède une maison d’édition et un magazine dédiés au bridge.
52 Entertainment connaît depuis un succès international retentissant. Le groupe est leader mondial des jeux de bridge et l’un des opérateurs majeurs des jeux d’esprit et de stratégie en ligne (Belote, Canasta, Tarot…). Son chiffre d’affaires a explosé, passant de 6,5 millions d’euros en 2018 à 57 millions d’euros en 2020. La société comptabilise plus d’un milliard de parties de bridge jouées chaque année et 3,8 milliards de joueurs inscrits sur ses plateformes. Elle est présente dans 180 pays et emploie 140 salariés.
Entreprise à haut niveau de profits, 52 Entertainment finance elle-même sa croissance. « Cependant, on ne peut pas avoir cette croissance sans un bon accompagnement. La présence de HLD, qui se définit ici comme une holding d’investissement, est primordiale. Jean-Bernard Lafonta nous épaule sur nos axes de développement, sur la stratégie et sur nos idées en général. C’est un bon sparring-partner », précisait Olivier Compte sur le plateau de BFM TV Business en 2020.
Si la société est aujourd’hui championne du monde sur le bridge en ligne, elle ambitionne de devenir le leader de demain sur l’ensemble des jeux d’esprit ou de stratégie. Le directeur profite également de cette hypercroissance en continue pour se lancer dans le domaine de l’eSport. Une décision notamment marquée par le 52 rachat, en janvier dernier, du jeu Virtual Regatta.
Créé en 2006 par Philippe Guigné à l’occasion de la Route du Rhum, Virtual Regatta est le jeu de voile en ligne le plus populaire au monde. La société revendique un million de joueurs inscrits sur le dernier Vendée Globe. Lors des grandes courses de voile, les joueurs peuvent affronter virtuellement des skippers professionnels, comme Armel Le Cléac’h et Loïck Peyron, devenus partenaires du jeu. « Nous avons vendu à 52 Entertainment car c’est un acteur de jeu vidéo qui se situe sur un secteur très porteur, celui des jeux de réflexion, destinés à communiquer avec des passionnés. C’est aussi notre ADN. Et je voulais une société pouvant accompagner Virtual Regatta et l’aider à poursuivre son développement », indique Philippe Guigné à l’occasion d’une interview chez Ouest France.
En 2018, Goto Games est rachetée par le fonds d’investissement français HLD. Jean-Bernard Lafonta, co-fondateur d’HLD, propose alors à Olivier Comte de rejoindre l’aventure en qualité de Directeur. Afin de donner plus d’envergure et de poids au projet, Olivier Comte et Jean-Bernard Lafonta font l’acquisition de l’acteur américain BBO (Bridge Base Online). Le rapprochement entre Goto Games et BBO donne naissance à 52 Entertainment.
L’entreprise est désormais constituée de quatre plateformes de jeux de bridge en ligne (Funbrige.com en Europe, BBO et Great Game Products aux États-Unis, et enfin Bridge Online en Chine). Ajouté à ces plateformes, 52 Entertainment possède une maison d’édition et un magazine dédiés au bridge.
52 Entertainment connaît depuis un succès international retentissant. Le groupe est leader mondial des jeux de bridge et l’un des opérateurs majeurs des jeux d’esprit et de stratégie en ligne (Belote, Canasta, Tarot…). Son chiffre d’affaires a explosé, passant de 6,5 millions d’euros en 2018 à 57 millions d’euros en 2020. La société comptabilise plus d’un milliard de parties de bridge jouées chaque année et 3,8 milliards de joueurs inscrits sur ses plateformes. Elle est présente dans 180 pays et emploie 140 salariés.
Entreprise à haut niveau de profits, 52 Entertainment finance elle-même sa croissance. « Cependant, on ne peut pas avoir cette croissance sans un bon accompagnement. La présence de HLD, qui se définit ici comme une holding d’investissement, est primordiale. Jean-Bernard Lafonta nous épaule sur nos axes de développement, sur la stratégie et sur nos idées en général. C’est un bon sparring-partner », précisait Olivier Compte sur le plateau de BFM TV Business en 2020.
Si la société est aujourd’hui championne du monde sur le bridge en ligne, elle ambitionne de devenir le leader de demain sur l’ensemble des jeux d’esprit ou de stratégie. Le directeur profite également de cette hypercroissance en continue pour se lancer dans le domaine de l’eSport. Une décision notamment marquée par le 52 rachat, en janvier dernier, du jeu Virtual Regatta.
Créé en 2006 par Philippe Guigné à l’occasion de la Route du Rhum, Virtual Regatta est le jeu de voile en ligne le plus populaire au monde. La société revendique un million de joueurs inscrits sur le dernier Vendée Globe. Lors des grandes courses de voile, les joueurs peuvent affronter virtuellement des skippers professionnels, comme Armel Le Cléac’h et Loïck Peyron, devenus partenaires du jeu. « Nous avons vendu à 52 Entertainment car c’est un acteur de jeu vidéo qui se situe sur un secteur très porteur, celui des jeux de réflexion, destinés à communiquer avec des passionnés. C’est aussi notre ADN. Et je voulais une société pouvant accompagner Virtual Regatta et l’aider à poursuivre son développement », indique Philippe Guigné à l’occasion d’une interview chez Ouest France.