Un très bon cru 2022 pour les actionnaires des entreprises européennes. « Les entreprises européennes devraient verser environ 410 milliards d'euros de dividendes à leurs actionnaires en 2022, un record, selon une étude publiée jeudi 20 janvier par le gestionnaire d'actifs AllianzGI. Ce montant est supérieur aux 378 milliards d'euros recensés en 2021 par Allianz Global Investors, déjà un niveau record » explique le site d’informations de Boursorama.
Le contexte économique est particulier sur le vieux continent avec des entreprises qui survivent ou qui performent grâce à l’argent public et les plans de relances. Et alors que le contexte sanitaire a été morose en 2021 et que 2022 commence sous le signe du variant Omicron, l’étude souligne que les actionnaires sont en fête.
« L'accélération en Allemagne, France et Italie dépasserait les 10% en 2022, alors que les entreprises du Royaume-Uni n'augmenteraient les versements que de 4%. "Les paiements de dividendes en 2021 ont montré une évolution prononcée en forme de V" avec une très forte progression à la sortie des confinements, après la chute de 2020, a observé Jörg de Vries-Hippen, responsable des actions européennes, cité dans le communiqué. Si un nombre plus faible d'entreprises a distribué des dividendes par rapport à la situation d'avant la pandémie, celles qui l'ont fait ont procédé à des versements plus conséquents, note l'étude. Les dividendes sont un des deux principaux moyens de redistribution des profits d'une entreprise à ses actionnaires, avec les rachats d'actions. Ces derniers ont aussi été en forte hausse en 2021, dépassant leur niveau d'avant-crise en France » lit-on plus loin. Des chiffres qui méritent d’être médiatisés pour, peut-on espérer, que les entreprises trouvent des investisseurs pour affronter les défis économiques et commerciaux qu’annoncent les levées successives des aides publiques. C’est alors que l’on pourra savoir s’il s’agissait d’une bulle maintenue artificiellement ou d’une impulsion économique.
Le contexte économique est particulier sur le vieux continent avec des entreprises qui survivent ou qui performent grâce à l’argent public et les plans de relances. Et alors que le contexte sanitaire a été morose en 2021 et que 2022 commence sous le signe du variant Omicron, l’étude souligne que les actionnaires sont en fête.
« L'accélération en Allemagne, France et Italie dépasserait les 10% en 2022, alors que les entreprises du Royaume-Uni n'augmenteraient les versements que de 4%. "Les paiements de dividendes en 2021 ont montré une évolution prononcée en forme de V" avec une très forte progression à la sortie des confinements, après la chute de 2020, a observé Jörg de Vries-Hippen, responsable des actions européennes, cité dans le communiqué. Si un nombre plus faible d'entreprises a distribué des dividendes par rapport à la situation d'avant la pandémie, celles qui l'ont fait ont procédé à des versements plus conséquents, note l'étude. Les dividendes sont un des deux principaux moyens de redistribution des profits d'une entreprise à ses actionnaires, avec les rachats d'actions. Ces derniers ont aussi été en forte hausse en 2021, dépassant leur niveau d'avant-crise en France » lit-on plus loin. Des chiffres qui méritent d’être médiatisés pour, peut-on espérer, que les entreprises trouvent des investisseurs pour affronter les défis économiques et commerciaux qu’annoncent les levées successives des aides publiques. C’est alors que l’on pourra savoir s’il s’agissait d’une bulle maintenue artificiellement ou d’une impulsion économique.