Ca ne changera surement pas grand-chose mais ça défoule. C’est comme ça que le délégué général de l’association 40 millions d’automobilistes aurait pu présenter les choses. Interrogé par LCI le 18 septembre, Pierre Chasseray a lancé un appel à la mobilisation pour les automobilistes. « Aujourd'hui on est dans du hold-up.(…) Aujourd'hui quand on parle de taxe sur les carburants, ça me hérisse les poils, c'est pas la vérité » a-t-il commencé par dire, remonté.
Il a ainsi expliqué en quoi consiste l’opération « Coût de pompe » que l’association qu’il représente lance. Le principe est simple, écrire au président de la République pour manifester son mécontentement et joindre un ticket de carburant pour appuyer la complainte. « Sur notre site internet, il y a toutes les informations et on peut télécharger le courrier au Président, on peut aussi mettre ou pas un ticket de carburant et on l'envoie gratuitement à l'Elysée". Depuis quelques années il n'est en effet plus nécessaire d'apposer un timbre sur le courrier quand on écrit au Président. Évoquant un "impôt sur le droit de bosser et d’emmener ses enfants à l'école", Pierre Chasseray s'est notamment attardé sur la situation de "ceux qui sont en province dans des milieux ruraux et qui sont obligés de mettre de l'essence", avec une facture pouvant atteindre 250 euros par mois » rapporte un article de LCI résumant la prise de parole.
Une opération très symbolique dont on doute qu’elle portera des fruits et permettra de faire baisser le prix à la pompe. Pour autant, ce type d’annonce dans la bouche d’un responsable de 40 millions d’automobilistes a plus de poids que s’il s’agissait d’une autre association. Avec plus de 300 000 membres et des centaines de milliers de soutiens, l’association peut avoir un vrai pouvoir de nuisance. Peut-être de quoi perturber l’administration de l’Elysée.
Il a ainsi expliqué en quoi consiste l’opération « Coût de pompe » que l’association qu’il représente lance. Le principe est simple, écrire au président de la République pour manifester son mécontentement et joindre un ticket de carburant pour appuyer la complainte. « Sur notre site internet, il y a toutes les informations et on peut télécharger le courrier au Président, on peut aussi mettre ou pas un ticket de carburant et on l'envoie gratuitement à l'Elysée". Depuis quelques années il n'est en effet plus nécessaire d'apposer un timbre sur le courrier quand on écrit au Président. Évoquant un "impôt sur le droit de bosser et d’emmener ses enfants à l'école", Pierre Chasseray s'est notamment attardé sur la situation de "ceux qui sont en province dans des milieux ruraux et qui sont obligés de mettre de l'essence", avec une facture pouvant atteindre 250 euros par mois » rapporte un article de LCI résumant la prise de parole.
Une opération très symbolique dont on doute qu’elle portera des fruits et permettra de faire baisser le prix à la pompe. Pour autant, ce type d’annonce dans la bouche d’un responsable de 40 millions d’automobilistes a plus de poids que s’il s’agissait d’une autre association. Avec plus de 300 000 membres et des centaines de milliers de soutiens, l’association peut avoir un vrai pouvoir de nuisance. Peut-être de quoi perturber l’administration de l’Elysée.