En période de confinement, le Livret A fait office de dessous de matelas. « Tandis qu'une décollecte a été constatée en octobre 2020 (-940 millions d'euros), en novembre 2020, soit pendant le deuxième confinement, 2,4 milliards d'euros ont été déposés sur les Livrets A des Françaises et des Français. À titre de comparaison, un an auparavant, la collecte nette ne dépassait pas les 610 millions d'euros. Ces nombres, rendus publics par la Caisse des Dépôts, montrent que le deuxième confinement a permis aux particuliers d'épargner » nous apprend Boursorama.
Les observations sont d’autant plus faciles à tirer qu’ordinairement le mois de novembre n’est pas propice aux économies. A l’approche de Noël, les Livrets A ont plutôt tendance à stagner voire reculer avec des dépenses importantes sans primes exceptionnelles. « D'ailleurs, pour retrouver un tel niveau de collecte, il faut faire un petit bond dans le passé, en novembre 2012 précisément. Cette année-là, le plafond était passé de 12 000 à près de 20 000 euros. De janvier à novembre 2020, c'est une collecte nette de plus de 27 milliards d'euros qui a été enregistrée pour le Livret A. En 2019, la collecte nette, à cette même période, avait atteint les 14 milliards d'euros » appuie le site d’infos de la banque.
Preuve que durant les confinements les Français prennent des précautions d’épargne plutôt que de transférer leurs dépenses sur internet ou en livraisons, les autres livrets ont aussi bénéficié du deuxième confinement. 910 millions d’euros ont été collectés par les Livrets de développement durable et solidaire. « Et les Françaises et les Français ont épargné, sur leurs livrets défiscalisés, près de 85 milliards d'euros supplémentaires entre janvier et novembre 2020. À noter : le rendement du Livret A va rester à 0,5 % au 1er février 2021. Et si ce taux est bas, il est supérieur à l'inflation. Bonne nouvelle donc, en 2021, les particuliers devraient continuer à gagner un peu d'argent avec le plébiscité Livret A » ajoute Boursorama. Ces placements n’en sont pas vraiment faute de rémunération mais restent privilégiés parce que les fonds restent accessibles.
Les observations sont d’autant plus faciles à tirer qu’ordinairement le mois de novembre n’est pas propice aux économies. A l’approche de Noël, les Livrets A ont plutôt tendance à stagner voire reculer avec des dépenses importantes sans primes exceptionnelles. « D'ailleurs, pour retrouver un tel niveau de collecte, il faut faire un petit bond dans le passé, en novembre 2012 précisément. Cette année-là, le plafond était passé de 12 000 à près de 20 000 euros. De janvier à novembre 2020, c'est une collecte nette de plus de 27 milliards d'euros qui a été enregistrée pour le Livret A. En 2019, la collecte nette, à cette même période, avait atteint les 14 milliards d'euros » appuie le site d’infos de la banque.
Preuve que durant les confinements les Français prennent des précautions d’épargne plutôt que de transférer leurs dépenses sur internet ou en livraisons, les autres livrets ont aussi bénéficié du deuxième confinement. 910 millions d’euros ont été collectés par les Livrets de développement durable et solidaire. « Et les Françaises et les Français ont épargné, sur leurs livrets défiscalisés, près de 85 milliards d'euros supplémentaires entre janvier et novembre 2020. À noter : le rendement du Livret A va rester à 0,5 % au 1er février 2021. Et si ce taux est bas, il est supérieur à l'inflation. Bonne nouvelle donc, en 2021, les particuliers devraient continuer à gagner un peu d'argent avec le plébiscité Livret A » ajoute Boursorama. Ces placements n’en sont pas vraiment faute de rémunération mais restent privilégiés parce que les fonds restent accessibles.