Un article en ligne du journal Le Point explique qu’ « avec 1 400 avions livrés l'an dernier et plus de 12 000 appareils en commande, cela représente près de mille milliards de dollars et dix ans de production. »
« Boeing creuse l’écart »
L’article du Point souligne qu’ « en 2015, les positions respectives d'Airbus et de Boeing sur le marché des avions commerciaux civils restent les mêmes qu'en 2014. La production tourne à plein à Seattle, permettant à l'avionneur américain de livrer 762 avions contre 635 l'année précédente. »
Quant à Airbus, d’après l’article, « le chiffre 2015 s'élève à 635 avions, soit 6 livraisons de plus qu'en 2014. Boeing creuse donc l'écart. Ce n'est pas anodin car cela se traduit dans ses caisses par des espèces sonnantes et trébuchantes : près de 85 % du prix d'un avion est, en effet, réglé à la livraison alors que les arrhes versées à la commande n'apparaissent pas immédiatement dans les résultats financiers. »
Le Point assure que « chez Airbus, ce retard structurel s'explique par plusieurs modèles en phase de lancement de production, comme le long courrier A350 et le moyen courrier A320neo, ou de développement, comme l'autre long courrier A330neo. »
Il ajoute qu’ « au début, les livraisons sont réalisées au compte-goutte. En 2018, Airbus compte toutefois produire 10 A350 par mois et monter la cadence des A320 de 42 à 60 appareils mensuels, une hausse de près de 50%. En attendant, certains sous-traitants comme Zodiac prennent du retard : l'A350 attend les blocs-toilettes et les sièges de cet équipementier français, ce qui bloque des avions sur la chaîne d'assemblage. Si le lancement opérationnel l'an dernier de ce nouveau long-courrier est considéré comme un sans-faute, la montée en puissance industrielle reste un souci. L'objectif de 60 A350 cette année a été ramené à 50. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Quant à Airbus, d’après l’article, « le chiffre 2015 s'élève à 635 avions, soit 6 livraisons de plus qu'en 2014. Boeing creuse donc l'écart. Ce n'est pas anodin car cela se traduit dans ses caisses par des espèces sonnantes et trébuchantes : près de 85 % du prix d'un avion est, en effet, réglé à la livraison alors que les arrhes versées à la commande n'apparaissent pas immédiatement dans les résultats financiers. »
Le Point assure que « chez Airbus, ce retard structurel s'explique par plusieurs modèles en phase de lancement de production, comme le long courrier A350 et le moyen courrier A320neo, ou de développement, comme l'autre long courrier A330neo. »
Il ajoute qu’ « au début, les livraisons sont réalisées au compte-goutte. En 2018, Airbus compte toutefois produire 10 A350 par mois et monter la cadence des A320 de 42 à 60 appareils mensuels, une hausse de près de 50%. En attendant, certains sous-traitants comme Zodiac prennent du retard : l'A350 attend les blocs-toilettes et les sièges de cet équipementier français, ce qui bloque des avions sur la chaîne d'assemblage. Si le lancement opérationnel l'an dernier de ce nouveau long-courrier est considéré comme un sans-faute, la montée en puissance industrielle reste un souci. L'objectif de 60 A350 cette année a été ramené à 50. »
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