C’est un record absolu pour le groupe Thalès. Le vendeur d’armes français a signé en 2015 pour 19 milliards d’euros de contrats. « Après cinq à six ans de stagnation, le groupe de défense et de hautes technologies s'est non seulement remis en mouvement mais encore il a enclenché la vitesse supérieure, tout en conjuguant croissance et rentabilité. Les résultats de l'exercice 2015, rendus publiques ce mardi 23 février, donnent l'image d'un Thales beaucoup plus conquérant » résume Le Figaro , qui a par ailleurs publié un entretien du patron du groupe, Patrice Caine.
+31% par rapport à 2014
« 2015 a été une année exceptionnelle, marquée par des prises de commandes de 19 milliards d'euros, supérieures à notre chiffre d'affaires qui s'élève à 14 milliards d'euros. Cela représente une progression de 31% par rapport aux 14,4 milliards d'euros de contrats signés en 2014. C'est absolument considérable » a ainsi confié au quotidien le PDG de Thalès.
Avec cinq contrats supérieurs à 500 millions d’euros, dont la modernisation du métro de Londres, les Rafales d’Egypte et du Qatar, mais aussi les satellites militaires Syracuse 3. Ces énormes contrats sont accompagnés de la progression aussi des petits et moyens contrats. Des résultats d’autant plus satisfaisant qu’ils sont positifs dans toutes les branches de Thalès.
Enfin, du point de vue de la profitabilité aussi les résultats sont meilleurs qu’anticipés : « Le bénéfice opérationnel (ebit) a franchi un niveau record jamais atteint de 1,2 milliard d'euros, soit une marge opérationnelle de 8,6% du chiffre d'affaires » affirme Patrice Caine. Des résultats qui donnent des ailes au groupe qui vise désormais une croissance de 5% par pour la période 2016-2018.
Lire en intégralité l’article sur Le Figaro.fr
Avec cinq contrats supérieurs à 500 millions d’euros, dont la modernisation du métro de Londres, les Rafales d’Egypte et du Qatar, mais aussi les satellites militaires Syracuse 3. Ces énormes contrats sont accompagnés de la progression aussi des petits et moyens contrats. Des résultats d’autant plus satisfaisant qu’ils sont positifs dans toutes les branches de Thalès.
Enfin, du point de vue de la profitabilité aussi les résultats sont meilleurs qu’anticipés : « Le bénéfice opérationnel (ebit) a franchi un niveau record jamais atteint de 1,2 milliard d'euros, soit une marge opérationnelle de 8,6% du chiffre d'affaires » affirme Patrice Caine. Des résultats qui donnent des ailes au groupe qui vise désormais une croissance de 5% par pour la période 2016-2018.
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