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Pas de raison de s’inquiéter assure la Société Générale. Présent en Russie avec sa filiale Rosabank, le groupe a souhaité communiquer à ce sujet. « En suivant avec la plus grande attention le développement de la situation en Ukraine et en Russie, le Groupe s’attache à accompagner ses clients et l’ensemble de ses collaborateurs. Société Générale respecte de façon rigoureuse les réglementations en vigueur et met en œuvre avec diligence les mesures nécessaires afin d’appliquer strictement, dès leur publication, les sanctions internationales » commence le texte publié sur le site du groupe.
S’il est possible que les activités locales soient remises en cause, la banque française assure que les conséquences ne seront pas importantes pour son équilibre général : « Avec un ratio CET1 de 13,7% au 31 décembre 2021, soit une marge de manœuvre d’environ 470 points de base au-dessus de l’exigence réglementaire, le Groupe est tout à fait en mesure d’absorber les conséquences d’un éventuel scénario extrême qui affecterait les droits de propriété sur ses actifs bancaires en Russie, dont l’impact en capital est estimé à environ -50 points de base de ratio de capital CET1 et ne remettrait pas en cause le versement du dividende au titre de l’exercice 2021. »
Et d’ajouter que « les activités localisées en Russie (SG Russie représentent 2,8% du produit net bancaire du Groupe en 2021 et 2,7% du résultat net. Elles concernent principalement notre filiale bancaire Rosbank, détenue à 99,97% par le Groupe. Celle-ci dispose d’une position de capital solide, avec un ratio de CET1 de 10,74%, soit 274 points de base au-dessus de l’exigence réglementaire locale, et opère de manière autonome en matière de liquidité, avec un ratio de crédits sur dépôts d’environ 80% au 31 décembre 2021. Ces expositions sont largement libellées en devise locale, à hauteur de 99,7% sur les particuliers et de 68% sur les entreprises. »
S’il est possible que les activités locales soient remises en cause, la banque française assure que les conséquences ne seront pas importantes pour son équilibre général : « Avec un ratio CET1 de 13,7% au 31 décembre 2021, soit une marge de manœuvre d’environ 470 points de base au-dessus de l’exigence réglementaire, le Groupe est tout à fait en mesure d’absorber les conséquences d’un éventuel scénario extrême qui affecterait les droits de propriété sur ses actifs bancaires en Russie, dont l’impact en capital est estimé à environ -50 points de base de ratio de capital CET1 et ne remettrait pas en cause le versement du dividende au titre de l’exercice 2021. »
Et d’ajouter que « les activités localisées en Russie (SG Russie représentent 2,8% du produit net bancaire du Groupe en 2021 et 2,7% du résultat net. Elles concernent principalement notre filiale bancaire Rosbank, détenue à 99,97% par le Groupe. Celle-ci dispose d’une position de capital solide, avec un ratio de CET1 de 10,74%, soit 274 points de base au-dessus de l’exigence réglementaire locale, et opère de manière autonome en matière de liquidité, avec un ratio de crédits sur dépôts d’environ 80% au 31 décembre 2021. Ces expositions sont largement libellées en devise locale, à hauteur de 99,7% sur les particuliers et de 68% sur les entreprises. »