Vivendi a un plan et semble s’y tenir. C’est du moins ce que le groupe veut laisser penser. « Comme prévu, Vivendi a vendu aujourd’hui le solde de sa participation dans Ubisoft (5,87 % du capital) pour un montant de 429 millions d’euros, représentant une plus-value comptable de 220 millions d’euros. Vivendi n’est plus actionnaire d’Ubisoft et garde l’engagement de ne pas acquérir d’actions d’Ubisoft pendant cinq ans » explique le communiqué du groupe.
En réalité, si le groupe et bien en application ce qu’il a annoncé en 2018, c’est surtout le point final d’une histoire complexe entre Vivendi et Ubisoft. « C’est donc la fin d’un véritable psychodrame dans le secteur du jeu vidéo. Depuis plusieurs années, Vivendi lorgnait sur l’éditeur français, numéro 3 mondial, qui reste une entreprise familiale. Sa direction était opposée à tout rapprochement, et s'était efforcée d'empêcher une prise de contrôle rampante ou une OPA du groupe » raconte très justement BFM Business.
Dans cette stratégie de protection contre les ambitions de Vivendi, poursuit l’article de la chaine d’infos économiques, « Ubisoft a trouvé deux partenaires : le fonds de pension Ontario Teachers (à hauteur de 3,4%) et surtout le géant chinois du numérique Tencent (à hauteur de 5%). Vivendi en profite néanmoins pour réaliser une belle opération : 1,2 milliard d'euros de plus-value, sur un prix de cession total de sa participation de 2 milliards. »
Pour autant il ne s’agit pas du glas pour les ambitions du groupe dans le secteur des jeux vidéo. Dans son communiqué, Vivendi n’oublie surtout pas de le mentionner : « Vivendi, qui détient déjà Gameloft, leader mondial des jeux pour mobile, confirme son intention de continuer à se renforcer dans les jeux vidéo. »
En réalité, si le groupe et bien en application ce qu’il a annoncé en 2018, c’est surtout le point final d’une histoire complexe entre Vivendi et Ubisoft. « C’est donc la fin d’un véritable psychodrame dans le secteur du jeu vidéo. Depuis plusieurs années, Vivendi lorgnait sur l’éditeur français, numéro 3 mondial, qui reste une entreprise familiale. Sa direction était opposée à tout rapprochement, et s'était efforcée d'empêcher une prise de contrôle rampante ou une OPA du groupe » raconte très justement BFM Business.
Dans cette stratégie de protection contre les ambitions de Vivendi, poursuit l’article de la chaine d’infos économiques, « Ubisoft a trouvé deux partenaires : le fonds de pension Ontario Teachers (à hauteur de 3,4%) et surtout le géant chinois du numérique Tencent (à hauteur de 5%). Vivendi en profite néanmoins pour réaliser une belle opération : 1,2 milliard d'euros de plus-value, sur un prix de cession total de sa participation de 2 milliards. »
Pour autant il ne s’agit pas du glas pour les ambitions du groupe dans le secteur des jeux vidéo. Dans son communiqué, Vivendi n’oublie surtout pas de le mentionner : « Vivendi, qui détient déjà Gameloft, leader mondial des jeux pour mobile, confirme son intention de continuer à se renforcer dans les jeux vidéo. »