Ce type de décisions étaient attendues. Le groupe Société Générale avait annoncé qu’un vaste plan de restructuration était lancé pour renouer avec la rentabilité en fusionnant deux de ses branches. On sait désormais que la première étape concerne un maillage territorial repensé. « Le groupe bancaire Société générale a annoncé, lundi 7 décembre, vouloir fusionner ses réseaux de détail Société générale et Crédit du Nord. En cause, l'anticipation de l'accélération de l'évolution des comportements clients au sortir de la crise du Covid-19, avec un recours accru aux services en ligne et des attentes encore plus fortes de réactivité et d'immédiateté dans les services bancaires. Le projet impliquera la fermeture de 600 agences en vue de créer un nouvel ensemble servant dix millions de clients, qui devrait être opérationnel au premier semestre 2023 » explique France Info .
En utilisant le maillage territorial des deux banques de son groupe, la maison mère veut diminuer le coût de sa présence tout en gardant l’image d’un groupe à fort ancrage territorial. « Le groupe entend préserver la même empreinte territoriale tout en réduisant le nombre d'agences – dans une même ville, il y a en effet souvent des agences des deux enseignes à proximité l'une de l'autre. Il passera ainsi d'environ 2 100 agences à fin 2020 à environ 1 500 à fin 2025. Le rapprochement ne nécessitera "aucun licenciement, aucun départ contraint", a assuré Sébastien Proto, directeur général adjoint du groupe. Ce dernier estime que les départs naturels ces prochaines années permettront de mener à bien le projet, tout en continuant à recruter » ajoute la chaine publique d’informations.
Une décision qui inquiète les syndicats malgré les engagements concernant les licenciements. Car même sans licenciement ce n’est pas une bonne nouvelle pour l’emploi avec quelques milliers de suppressions de postes à la clé.
En utilisant le maillage territorial des deux banques de son groupe, la maison mère veut diminuer le coût de sa présence tout en gardant l’image d’un groupe à fort ancrage territorial. « Le groupe entend préserver la même empreinte territoriale tout en réduisant le nombre d'agences – dans une même ville, il y a en effet souvent des agences des deux enseignes à proximité l'une de l'autre. Il passera ainsi d'environ 2 100 agences à fin 2020 à environ 1 500 à fin 2025. Le rapprochement ne nécessitera "aucun licenciement, aucun départ contraint", a assuré Sébastien Proto, directeur général adjoint du groupe. Ce dernier estime que les départs naturels ces prochaines années permettront de mener à bien le projet, tout en continuant à recruter » ajoute la chaine publique d’informations.
Une décision qui inquiète les syndicats malgré les engagements concernant les licenciements. Car même sans licenciement ce n’est pas une bonne nouvelle pour l’emploi avec quelques milliers de suppressions de postes à la clé.