Source : Pixabay, image libre de droits.
Trop c’est trop. Le secteur automobile ne va pas laisser les nouveaux géants du web et de la technologie grignoter son marché. Les nouvelles prétentions de Google et Apple dans le domaine des voitures connectées ou autonomes n’est pas du goût des acteurs traditionnels de l’automobile. Mercredi 4 janvier, Toyota et Ford ont ainsi annoncé la création d’un consortium pour défendre leur bout de gras. « Cette organisation, baptisée SmartDeviceLink Consortium, entend "donner aux consommateurs plus de choix pour se connecter et contrôler leurs applications de smartphones sur la route", ont expliqué les deux groupes dans un communiqué commun, publié à la veille de l'ouverture du salon de technologies CES à Las Vegas » raconte Le Figaro.
Parmi les membres de ce consortium on retrouve, en plus des deux signataires du communiqué, le Français PSA mais aussi trois Japonais avec Mazda Motor, Fuji Heavy Industries (Subaru) et Suzuki Motor. « Ces différentes compagnies espèrent ainsi favoriser "une large adoption" de la plateforme SDL, construite de manière ouverte (open source), en guise d'alternative aux technologies d'Apple et Google. De la sorte, elles pourront "garder le contrôle sur l'accès aux données du véhicule par les applications", soulignent-elles. "La connectivité entre les smartphones et l'interface du véhicule est un des enjeux les plus importants", a commenté Shigeki Tomoyama, chargé de ce domaine chez Toyota » rapporte le journal français.
Ces dernières années, les déclarations ambitieuses d’Apple mais surtout Google, laissaient présager une révolution du secteur automobile dans les prochaines années avec le développement de la robotique et des véhicules autonomes. Une révolution industrielle qui approche et les acteurs traditionnels de l’automobile ne comptent pas rester sur le bord de la route. Pire, les constructeurs comptent eux-même empiéter sur les plates-bandes des géants technologiques. « Grâce à SDL, l'automobiliste n'a plus à jongler avec le smartphone d'un côté et l'autoradio/GPS de l'autre. Il n'a qu'à connecter son téléphone à sa voiture pour par exemple accéder, via la reconnaissance vocale, l'écran et les commandes de bord, à ses applications mobiles (e-mail, divertissement et informations, météo, trafic, possibilités de stationnement...). Nombre d'autres usages exploitant les données du véhicule (kilométrage, échéance de contrôle, etc...) sont aussi possibles » conclue Le Figaro.
Parmi les membres de ce consortium on retrouve, en plus des deux signataires du communiqué, le Français PSA mais aussi trois Japonais avec Mazda Motor, Fuji Heavy Industries (Subaru) et Suzuki Motor. « Ces différentes compagnies espèrent ainsi favoriser "une large adoption" de la plateforme SDL, construite de manière ouverte (open source), en guise d'alternative aux technologies d'Apple et Google. De la sorte, elles pourront "garder le contrôle sur l'accès aux données du véhicule par les applications", soulignent-elles. "La connectivité entre les smartphones et l'interface du véhicule est un des enjeux les plus importants", a commenté Shigeki Tomoyama, chargé de ce domaine chez Toyota » rapporte le journal français.
Ces dernières années, les déclarations ambitieuses d’Apple mais surtout Google, laissaient présager une révolution du secteur automobile dans les prochaines années avec le développement de la robotique et des véhicules autonomes. Une révolution industrielle qui approche et les acteurs traditionnels de l’automobile ne comptent pas rester sur le bord de la route. Pire, les constructeurs comptent eux-même empiéter sur les plates-bandes des géants technologiques. « Grâce à SDL, l'automobiliste n'a plus à jongler avec le smartphone d'un côté et l'autoradio/GPS de l'autre. Il n'a qu'à connecter son téléphone à sa voiture pour par exemple accéder, via la reconnaissance vocale, l'écran et les commandes de bord, à ses applications mobiles (e-mail, divertissement et informations, météo, trafic, possibilités de stationnement...). Nombre d'autres usages exploitant les données du véhicule (kilométrage, échéance de contrôle, etc...) sont aussi possibles » conclue Le Figaro.