ILD
Jeudi le ministère des Transports a présenté les hausses de tarifs des autoroutes pour 2018. Un événement qui déjà montre que le gouvernement est d’accord avec les sociétés de gestion du réseau sur ces tarifs. Les prochains moins s’annoncent donc plus apaisés, contrairement à la situation de 2014 quand Ségolène Royal avait repris les conclusions d’un rapport de l’Autorité de la concurrence. « Un accord entre l'Etat et les concessionnaires avait mis fin à la polémique en septembre 2015 avec le lancement d'un plan de relance autoroutier de 3,2 milliards d'euros qui prévoyait des hausses de péage sur les années suivantes, et un allongement des concessions » se souvient La Tribune.fr.
A partir du 1er février donc, les tarifs vont augmenter entre 1,03% et 2,04% selon les endroits. C’est plus que les deux années précédentes où les hausses avaient été contenues en dessous de 1%. Mais e gouvernement justifie cette progression importante en expliquant que les prévisions d’inflation sont plus importantes. Par ailleurs, les sociétés réagissent à l’augmentation de la redevance sur la gestion du domaine. Enfin, les prix doivent permettre de financer les travaux.
« En janvier 2017, le gouvernement et les sociétés autoroutières se sont entendus sur un plan d'investissements supplémentaire de 803,5 millions d'euros dans les autoroutes qui prévoit 57 opérations (aménagements d'échangeurs, travaux d'amélioration environnementale, etc) sur le réseau, financé par des hausses des péages (comprises entre 0,1 et 0,4% par an de 2019 jusqu'en 2021) et par des subventions des collectivités locales » continue le site spécialisé en s’appuyant sur un article du Journal du Dimanche.
A noter que les hausses varient selon les zones mais surtout selon les sociétés gérantes. Ainsi Area et APRR (Eiffage) connaitront les hausse les plus fortes autour de 2% quand les filiales des groupes Vinci Abertis progresseront d’environ 1,4%.
A partir du 1er février donc, les tarifs vont augmenter entre 1,03% et 2,04% selon les endroits. C’est plus que les deux années précédentes où les hausses avaient été contenues en dessous de 1%. Mais e gouvernement justifie cette progression importante en expliquant que les prévisions d’inflation sont plus importantes. Par ailleurs, les sociétés réagissent à l’augmentation de la redevance sur la gestion du domaine. Enfin, les prix doivent permettre de financer les travaux.
« En janvier 2017, le gouvernement et les sociétés autoroutières se sont entendus sur un plan d'investissements supplémentaire de 803,5 millions d'euros dans les autoroutes qui prévoit 57 opérations (aménagements d'échangeurs, travaux d'amélioration environnementale, etc) sur le réseau, financé par des hausses des péages (comprises entre 0,1 et 0,4% par an de 2019 jusqu'en 2021) et par des subventions des collectivités locales » continue le site spécialisé en s’appuyant sur un article du Journal du Dimanche.
A noter que les hausses varient selon les zones mais surtout selon les sociétés gérantes. Ainsi Area et APRR (Eiffage) connaitront les hausse les plus fortes autour de 2% quand les filiales des groupes Vinci Abertis progresseront d’environ 1,4%.