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La Société Générale continue à courir après la rentabilité. Après avoir annoncé cet été qu’une réduction des coûts de 450 millions d’euros était visée d’ici 2023, la banque va supprimer des postes. Par communiqué, elle annonce que 640 emplois seront supprimés sans départs contraints et principalement dans les branches financement et investissement. Mais aussi dans les directions centrales du groupe qui gèrent les ressources humaines globales, la communication ou les activités liées à l’image du groupe.
A l’échelle du groupe, ces 640 postes ne sont pas une proportion très importante, mais ils envoient un signal de confirmation quant à l’urgence de se réformer et de développer une activité plus rentable. « La banque, qui compte quelque 138 000 collaborateurs dans le monde dont 40 000 en France, a déjà réduit la voilure ces dernières années, notamment en banque de détail pour répondre à l'évolution des usages de sa clientèle qui se rend moins dans une agence qu'auparavant. A l'instar de ses concurrentes, elle souffre aussi de la persistance des taux bas et des effets de la crise sanitaire, qui affectent sa rentabilité.
Le groupe au logo rouge et noir a toutefois réussi à revenir dans le vert au troisième trimestre, affichant un bénéfice net de 862 millions d'euros. Cette publication contrastait avec un premier semestre très difficile, au cours duquel il a essuyé une perte nette de près de 1,6 milliard d'euros » analyse franceinfo .
Encore handicapée par un maillage du territoire très lourd à porter et une approche des services bancaires de proximité. La période de transition est lente pour Société Générale. Aujourd’hui des concurrents digitalisés sont très en avance dans ce domaine. Et à l’inverse, la fermeture des agences est un handicap par rapport aux agences de proximité que sont par exemple La Poste. Un entre deux qui pour l’heure coute cher et ne rapporte pas assez.
A l’échelle du groupe, ces 640 postes ne sont pas une proportion très importante, mais ils envoient un signal de confirmation quant à l’urgence de se réformer et de développer une activité plus rentable. « La banque, qui compte quelque 138 000 collaborateurs dans le monde dont 40 000 en France, a déjà réduit la voilure ces dernières années, notamment en banque de détail pour répondre à l'évolution des usages de sa clientèle qui se rend moins dans une agence qu'auparavant. A l'instar de ses concurrentes, elle souffre aussi de la persistance des taux bas et des effets de la crise sanitaire, qui affectent sa rentabilité.
Le groupe au logo rouge et noir a toutefois réussi à revenir dans le vert au troisième trimestre, affichant un bénéfice net de 862 millions d'euros. Cette publication contrastait avec un premier semestre très difficile, au cours duquel il a essuyé une perte nette de près de 1,6 milliard d'euros » analyse franceinfo .
Encore handicapée par un maillage du territoire très lourd à porter et une approche des services bancaires de proximité. La période de transition est lente pour Société Générale. Aujourd’hui des concurrents digitalisés sont très en avance dans ce domaine. Et à l’inverse, la fermeture des agences est un handicap par rapport aux agences de proximité que sont par exemple La Poste. Un entre deux qui pour l’heure coute cher et ne rapporte pas assez.