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Concernant le télétravail, la rupture serait donc générationnelle. C’est en tout cas ce qui ressort d’une enquête d’opinion menée par YouGov pour le cabinet de recrutement Nicholson Search & Selection. Les questions ont été posées en juillet dernier auprès de mille personnes. 61% des 18-34 ans interrogés se sont déclarés favorables à une organisation totalement en télétravail.
« Il est cependant beaucoup trop tôt pour annoncer l'avènement du 100% télétravail pour tous. Beaucoup ont encore du mal à appréhender ce mode de fonctionnement et ses conséquences. C'est particulièrement vrai pour les chefs d'entreprise. Si d'un côté ils sont 59% à se déclarer favorables au 100% télétravail, 16 points au-dessus des non-décisionnaires tout de même, ils sont tout de même 52%à souhaiter que leurs salariés viennent une ou plusieurs fois par semaine au bureau. Des réponses on ne peut plus contradictoires. Pour le PDG de Nicholson Search & Selection plusieurs explications sont possibles, notamment : « un effet de mode», les dirigeants ne seraient « pas forcément conscients de ce qu'est le 100% télétravail » » rapporte Le Figaro.
Si le cabinet de recrutement souligne la volonté de travailler assidument chez les 18-34 ans, il existe tout de même des freins importants avant d’envisager un recours massif et total au télétravail hors période de crise. Parmi les craintes principales et appréhensions de ce mode d’organisation, les questions de cohésion d’équipe ou d’acquisition de compétences se pose. Pour ce dernier point notamment, dans des secteurs variés, l’expérience Covid a montré que le travail en silo avait comme gros désavantage de laisser chaque collaborateur dans son domaine de compétence ou ses tâches sans se soucier des réalisations collectives.
Au début du mois – rappelle Le Figaro - une étude de la Dares, administration en charge des statistiques au ministère du Travail, avait montré que le recours au télétravail était très minoritaire et largement réservé aux cadres, même pour les tâches informatiques ou administratives. L’avenir nous dira si le Covid aura transformé en habitude ce qui était un privilège.
« Il est cependant beaucoup trop tôt pour annoncer l'avènement du 100% télétravail pour tous. Beaucoup ont encore du mal à appréhender ce mode de fonctionnement et ses conséquences. C'est particulièrement vrai pour les chefs d'entreprise. Si d'un côté ils sont 59% à se déclarer favorables au 100% télétravail, 16 points au-dessus des non-décisionnaires tout de même, ils sont tout de même 52%à souhaiter que leurs salariés viennent une ou plusieurs fois par semaine au bureau. Des réponses on ne peut plus contradictoires. Pour le PDG de Nicholson Search & Selection plusieurs explications sont possibles, notamment : « un effet de mode», les dirigeants ne seraient « pas forcément conscients de ce qu'est le 100% télétravail » » rapporte Le Figaro.
Si le cabinet de recrutement souligne la volonté de travailler assidument chez les 18-34 ans, il existe tout de même des freins importants avant d’envisager un recours massif et total au télétravail hors période de crise. Parmi les craintes principales et appréhensions de ce mode d’organisation, les questions de cohésion d’équipe ou d’acquisition de compétences se pose. Pour ce dernier point notamment, dans des secteurs variés, l’expérience Covid a montré que le travail en silo avait comme gros désavantage de laisser chaque collaborateur dans son domaine de compétence ou ses tâches sans se soucier des réalisations collectives.
Au début du mois – rappelle Le Figaro - une étude de la Dares, administration en charge des statistiques au ministère du Travail, avait montré que le recours au télétravail était très minoritaire et largement réservé aux cadres, même pour les tâches informatiques ou administratives. L’avenir nous dira si le Covid aura transformé en habitude ce qui était un privilège.