ILD
Elle parle de « fatwa bancaire » et donne le ton de la conférence de presse qu’elle donne ce sujet. Marine Le Pen est remontée et annonce qu’elle entre en bataille contre HSBC et la Société Générale. « Nous déposerons évidemment plainte tant au nom du Front national contre la Société Générale et sa filiale qu'à titre personnel je le ferai contre la HSBC. Et nous appelons nos cadres, nos élus, nos adhérents, nos électeurs, à en tirer toutes les conséquences et à soutenir plus que jamais le Front national et la démocratie » a-t-elle déclaré suite à l’annonce de la fermeture de comptes par ces deux établissements.
Parlant de « bannissement bancaire », la présidente du Front national estime qu’il s’agit d’une décision politique notamment parce que la Société Générale n’a pas accepté les demandes de médiation. « Avec plusieurs dizaines de milliers d'adhérents, des ressources stables et sans connaître le moindre incident de compte, le Front national s'est vu signifier sans aucune raison un bannissement bancaire de la part de la Société Générale qui était sa banque depuis de très nombreuses années (…) Nous sommes donc aujourd'hui privés de nos recettes. Cette situation met le Front national face à une difficulté absolument majeure et empêche le fonctionnement normal du parti » a-t-elle ajouté.
De leur côté les banques affirment que les décisions ont été motivées par des critères bancaires et une situation qui justifiait la clôture, sans en dire d’avantage. Marine Le Pen a par ailleurs expliqué qu’elle avait soumis le problème à Emmanuel Macron lors de leur rencontre le 21 novembre à l’Elysée et qu’elle allait s’adresser à tous les partis politiques pour demander leur soutien.
Parlant de « bannissement bancaire », la présidente du Front national estime qu’il s’agit d’une décision politique notamment parce que la Société Générale n’a pas accepté les demandes de médiation. « Avec plusieurs dizaines de milliers d'adhérents, des ressources stables et sans connaître le moindre incident de compte, le Front national s'est vu signifier sans aucune raison un bannissement bancaire de la part de la Société Générale qui était sa banque depuis de très nombreuses années (…) Nous sommes donc aujourd'hui privés de nos recettes. Cette situation met le Front national face à une difficulté absolument majeure et empêche le fonctionnement normal du parti » a-t-elle ajouté.
De leur côté les banques affirment que les décisions ont été motivées par des critères bancaires et une situation qui justifiait la clôture, sans en dire d’avantage. Marine Le Pen a par ailleurs expliqué qu’elle avait soumis le problème à Emmanuel Macron lors de leur rencontre le 21 novembre à l’Elysée et qu’elle allait s’adresser à tous les partis politiques pour demander leur soutien.