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A chaque génération ses quelques succès planétaires. Et alors que la plupart des marques anciennes essayent de ressusciter des anciens modèles pour renouer avec leurs heures glorieuses, d’autres comprennent qu’il faut chercher à développer le bon produit au bon moment. Et avec la montée en puissance de l’électrique, il y a fort à parier que certains modèles parviendront à faire un coup commercial. A l’image de Tesla par exemple, ou de la Zoé dans les balbutiements de la transition électrique, les opportunités se présentent à mesure que la demande augmente.
C’est dans cette approche marketing, commerciale et stratégique qu’il faut voir la Dacia Spring. Il suffit s’observer son traitement médiatique pour miser sur son juste positionnement. « Pour 12 000 euros, on peut s’acheter une Twingo neuve. Pour le même prix on pourra bientôt rouler en Dacia Spring, la voiture qui se propose de mettre l’électrique à la portée du plus grand nombre. Ce sera un peu plus spartiate et il faudra prévoir de recharger les batteries au moins tous les deux cents kilomètres (tous les trois cents kilomètres si on ne fait que de la ville, dixit le constructeur). En revanche, outre l’attrait de conduire un véhicule silencieux et plutôt vif, on pourra envisager un budget revu à la baisse. La Spring revendique le coût d’usage le plus faible du marché » attaque Le Monde .
A quelques mois de sa commercialisation, ce petit SUV rustique mais adapté aux normes de sécurités occidentales elle pourrait être la réponse attendue par de nombreux consommateurs qui sont enclins à s’éloigner des moteurs thermiques mais étaient découragés par les prix. A 12 000 euros neuve, quelques mois plus tard les prix d’occasion seront automatiquement comparables aux voitures entrées de gammes. « Destinée à des trajets urbains et périurbains, cette voiture qui tient dans 3,73 m (douze centimètres de plus qu’une Twingo) ne devrait pas souffrir de son autonomie limitée, assurent ses concepteurs. Ceux-ci rappellent qu’en moyenne, les trajets quotidiens domicile-travail n’excèdent pas 30 km. « Si l’on s’entient aux besoins que Spring permet de satisfaire, on ne peut pas considérer que cette voiture se situe sur une niche. Elle devrait nous apporter une clientèle plus urbaine et plus jeune », estime Denis Le Vot, directeur général de Dacia. » Sans devenir emblématique, cette voiture pourrait être un levier important dans une transformation du secteur annoncée imminente depuis plus d’une décennie.
C’est dans cette approche marketing, commerciale et stratégique qu’il faut voir la Dacia Spring. Il suffit s’observer son traitement médiatique pour miser sur son juste positionnement. « Pour 12 000 euros, on peut s’acheter une Twingo neuve. Pour le même prix on pourra bientôt rouler en Dacia Spring, la voiture qui se propose de mettre l’électrique à la portée du plus grand nombre. Ce sera un peu plus spartiate et il faudra prévoir de recharger les batteries au moins tous les deux cents kilomètres (tous les trois cents kilomètres si on ne fait que de la ville, dixit le constructeur). En revanche, outre l’attrait de conduire un véhicule silencieux et plutôt vif, on pourra envisager un budget revu à la baisse. La Spring revendique le coût d’usage le plus faible du marché » attaque Le Monde .
A quelques mois de sa commercialisation, ce petit SUV rustique mais adapté aux normes de sécurités occidentales elle pourrait être la réponse attendue par de nombreux consommateurs qui sont enclins à s’éloigner des moteurs thermiques mais étaient découragés par les prix. A 12 000 euros neuve, quelques mois plus tard les prix d’occasion seront automatiquement comparables aux voitures entrées de gammes. « Destinée à des trajets urbains et périurbains, cette voiture qui tient dans 3,73 m (douze centimètres de plus qu’une Twingo) ne devrait pas souffrir de son autonomie limitée, assurent ses concepteurs. Ceux-ci rappellent qu’en moyenne, les trajets quotidiens domicile-travail n’excèdent pas 30 km. « Si l’on s’entient aux besoins que Spring permet de satisfaire, on ne peut pas considérer que cette voiture se situe sur une niche. Elle devrait nous apporter une clientèle plus urbaine et plus jeune », estime Denis Le Vot, directeur général de Dacia. » Sans devenir emblématique, cette voiture pourrait être un levier important dans une transformation du secteur annoncée imminente depuis plus d’une décennie.