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La Première ministre britannique tente de renverser le rapport de force. Depuis le début des discussions sur le Brexit, l’Union européenne demande à Londres de changer de positions pour éviter un divorce pur et simple. Après des mois de pressions et des crises politiques internes, Theresa May tente d’inverser le rapport de force. »Si nous voulons parvenir à une conclusion réussie, alors, tout comme le Royaume-Uni a fait évoluer sa position, l'UE devra aussi faire évoluer sa position", a-t-elle ainsi déclaré à son arrivée à un dîner avec ses homologues européens en Autriche. "Je suis confiante dans le fait qu'avec de la bonne volonté et de la détermination, nous pourrons arriver à un accord correct pour les deux parties", a-t-elle ajouté à l'occasion de ce sommet informel qui se déroulera jeudi et vendredi » rapporte BFMTV .
Une déclaration qui répond directement au président du Conseil européen Donald Tusk qui avait formulé clairement la position européenne en demandant au gouvernement britannique de revoir son positionnement, notamment concernant l’Irlande. « Les deux parties sont d'accord pour éviter le rétablissement d'une frontière physique entre la province britannique d'Irlande du Nord et la République d'Irlande, mais Londres conteste les termes du "filet de sécurité" ("backstop") réclamé par l'UE pour garantir ce résultat.Le gouvernement britannique refuse toute solution qui conduirait à établir de facto une frontière douanière entre l'Irlande du Nord et la Grande-Bretagne » lit-on plus loin.
Pour la PM britannique, il est évidemment impensable d’imaginer que l’Irlande du Nord se détache du Royaume Uni. Elle a notamment parlé d’ « atteinte à (leur) intégrité constitutionnelle et économique ». Profitant de cette contrattaque, elle a aussi répondu à son opposition domestique en refusant qu’un nouveau référendum soit organisé sur le Brexit.
Une déclaration qui répond directement au président du Conseil européen Donald Tusk qui avait formulé clairement la position européenne en demandant au gouvernement britannique de revoir son positionnement, notamment concernant l’Irlande. « Les deux parties sont d'accord pour éviter le rétablissement d'une frontière physique entre la province britannique d'Irlande du Nord et la République d'Irlande, mais Londres conteste les termes du "filet de sécurité" ("backstop") réclamé par l'UE pour garantir ce résultat.Le gouvernement britannique refuse toute solution qui conduirait à établir de facto une frontière douanière entre l'Irlande du Nord et la Grande-Bretagne » lit-on plus loin.
Pour la PM britannique, il est évidemment impensable d’imaginer que l’Irlande du Nord se détache du Royaume Uni. Elle a notamment parlé d’ « atteinte à (leur) intégrité constitutionnelle et économique ». Profitant de cette contrattaque, elle a aussi répondu à son opposition domestique en refusant qu’un nouveau référendum soit organisé sur le Brexit.