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C’est un gros coup pour TotalEnergies. Le groupe qui vient de changer de nom pour imprégner sa marque de sa stratégie de diversification ne pouvait rêver mieux que ce contrat irakien de 27 milliards de dollars (22,7 milliards d’euros). Car loin d’être un contrat de pétrolier dans un pays aux fortes ressources en or noir, c’est une mission de transition énergétique. « Le deuxième pays de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) dispose d'immenses réserves de pétrole et de gaz, mais est confronté à une crise énergétique aiguë et fait face à d'incessantes coupures d'électricité qui alimentent le mécontentement social. Les quatre projets concernent le domaine du gaz naturel, de l'énergie solaire et du retraitement de l'eau de mer dans le Sud irakien dont les investissements atteindront au total 27 milliards de dollars (22,7 milliards d'euros), selon le ministre irakien du Pétrole, Ihsan Abdul-Jabbar Ismail » relève La Tribune.
Après un siècle de présence en Irak dans l’exploitation d’hydrocabures, c’est une nouvelle page très symbolique qui se tourne. « Dans ces quatre projets, TotalEnergies prévoit un investissement initial de 10 milliards de dollars. Les travaux d'ingénierie vont débuter "immédiatement", a précisé le PDG du groupe français, Patrick Pouyanné, lors d'une cérémonie de signature à Bagdad. "Nous prévoyons de mobiliser les équipes en Irak, à Bassorah, d'ici la fin de l'année 2021", a-t-il précisé » ajoute l’article.
Il ne s’agit pas pour autant d’un projet uniquement vert. Deux investissements consistent à améliorer la production de champs de pétrolier grâce notamment à l’injection d’eau de mer. Tandis que les deux autres concernent l’exploitation de gaz naturel et l’installation d’infrastructures pour produire 1 000 mégawatts en énergie solaire. Pour l’Irak les moyens de TotalEnergies sont une aubaine et l’exécutif local a assuré qu’aucun centime ne serait investi dans ces projets très attendus.
Après un siècle de présence en Irak dans l’exploitation d’hydrocabures, c’est une nouvelle page très symbolique qui se tourne. « Dans ces quatre projets, TotalEnergies prévoit un investissement initial de 10 milliards de dollars. Les travaux d'ingénierie vont débuter "immédiatement", a précisé le PDG du groupe français, Patrick Pouyanné, lors d'une cérémonie de signature à Bagdad. "Nous prévoyons de mobiliser les équipes en Irak, à Bassorah, d'ici la fin de l'année 2021", a-t-il précisé » ajoute l’article.
Il ne s’agit pas pour autant d’un projet uniquement vert. Deux investissements consistent à améliorer la production de champs de pétrolier grâce notamment à l’injection d’eau de mer. Tandis que les deux autres concernent l’exploitation de gaz naturel et l’installation d’infrastructures pour produire 1 000 mégawatts en énergie solaire. Pour l’Irak les moyens de TotalEnergies sont une aubaine et l’exécutif local a assuré qu’aucun centime ne serait investi dans ces projets très attendus.