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Les raisons de l’appel à la mise à jour ne sont pas frocément rassurants. « Selon un avis publié jeudi par l’Agence américaine de la sécurité routière (NHTSA), les défauts du logiciel, lorsqu’il est activé, peuvent amener le véhicule à continuer tout droit lorsqu’il s’est mis dans une voie de dégagement qui oblige théoriquement à tourner. Une voiture dont le logiciel FSD est enclenché peut aussi traverser une intersection dotée de panneaux « stop » sans observer un arrêt complet, ou passer un carrefour avec des feux orange fixes sans ralentir » nous apprend l’Agence France presse.
Au total, 362 758 voitures sont concernées. Il s’agit de modèles des gammes S, X Y et modèle 3 qui disposent du logiciel Full Self-Driving (FSD). « Le FSD, qui est en phase de test, est un logiciel dit de niveau 2, qui relève davantage de l’assistance à la conduite que de la conduite autonome » explique l’agence de presse. Les voitures qui en sont équipées datent pour les plus anciennes de 2016, ce qui explique le nombre important de véhicules concernés.
Les anomalies observées peuvent avoir des conséquences désastreuses. « Selon l’Agence, les véhicules concernés peuvent également « ne pas réagir suffisamment à des changements signalés de limites de vitesse » ou ne pas intervenir lorsqu’un conducteur dépasse la vitesse maximum autorisée. Pour remédier à ces défauts, Tesla prévoit de procéder à une mise à jour du logiciel, à sa charge. Ce rappel ne nécessite pas de ramener son véhicule à un point de contrôle Tesla. « Le terme “rappel” pour qualifier une mise à jour du logiciel est anachronique et simplement erroné », a tweeté Elon Musk, en réaction à l’annonce. Les investisseurs ont mal réagi à cet avis de la NHTSA, et le titre du constructeur de véhicules électriques a cédé 5,69 % sur la séance », ajoute l’AFP.
Au total, 362 758 voitures sont concernées. Il s’agit de modèles des gammes S, X Y et modèle 3 qui disposent du logiciel Full Self-Driving (FSD). « Le FSD, qui est en phase de test, est un logiciel dit de niveau 2, qui relève davantage de l’assistance à la conduite que de la conduite autonome » explique l’agence de presse. Les voitures qui en sont équipées datent pour les plus anciennes de 2016, ce qui explique le nombre important de véhicules concernés.
Les anomalies observées peuvent avoir des conséquences désastreuses. « Selon l’Agence, les véhicules concernés peuvent également « ne pas réagir suffisamment à des changements signalés de limites de vitesse » ou ne pas intervenir lorsqu’un conducteur dépasse la vitesse maximum autorisée. Pour remédier à ces défauts, Tesla prévoit de procéder à une mise à jour du logiciel, à sa charge. Ce rappel ne nécessite pas de ramener son véhicule à un point de contrôle Tesla. « Le terme “rappel” pour qualifier une mise à jour du logiciel est anachronique et simplement erroné », a tweeté Elon Musk, en réaction à l’annonce. Les investisseurs ont mal réagi à cet avis de la NHTSA, et le titre du constructeur de véhicules électriques a cédé 5,69 % sur la séance », ajoute l’AFP.