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Le malheur des uns fait le bonheur des autres. L’adage s’applique si bien concernant le commerce en ligne que les acteurs de ce dernier n’ose pas se réjouir trop fort. « La France comptait plus de 41 millions d’acheteurs en ligne au troisième trimestre, soit 510 000 de plus qu’il y a un an, selon les données de Médiamétrie pour la Fédération d’e-commerce et de la vente à distance (Fevad) publiées mardi 8 décembre. Et lors du deuxième confinement, ils se sont rapidement tournés vers l’achat en ligne, à la différence du premier confinement où il avait eu « des problèmes logistiques et un arrêt de la consommation », a souligné mercredi Marc Lolivier, délégué général de la Fevad. Sur trois semaines, les achats en ligne ont bondi de 84 % par rapport à 2019 » nous apprend Le Monde .
Alors pour tout de même être en fête sans apparaitre comme les fossoyeurs des commerces fermés, les acteurs du e-commerce prennent le chemin tracé par Amazon. Au plus fort des critiques, le géant américain expliquait que son activité était une bouffée d’oxygène pour les magasins et une façon de continuer à faire entrer du chiffre d’affaires malgré les devantures fermées. « Les ventes sur Internet auprès des enseignes magasins continuent de progresser rapidement, de 29 % au cours du 3e trimestre. Depuis le mois de janvier, l’augmentation du canal web des magasins est trois fois plus importante que pour la même période en 2019 (+41 % contre +13 %) », explique la fédération, citée par le quotidien.
Les professionnels du commerce en ligne plaident également le fait que la croissance enregistrée est certes exceptionnelle du fait de l’année Covid-19, mais respect la tendance globale de ces dernières années. « Internet est surtout le terrain de jeu privilégié pour les bonnes affaires, et notamment pour les opérations commerciales comme le Black Friday. Plus que jamais cette année, elles donnent le coup d’envoi des achats de Noêl, après avoir été décalées d’une semaine par rapport au calendrier habituel. Parmi les 67 % de Français qui avaient prévu d’en profiter en ligne, 9 sur 10 souhaitaient réaliser leurs achats de Noël durant cette période, selon un sondage Médiamétrie effectué entre le 28 octobre et le 4 novembre. Ces évolutions devraient permettre, selon la Fevad, au e-commerce d’atteindre 109,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires, en croissance de 6 % en 2020, contre 11,5 % en 2019 » ajoute Le Monde. Et de préciser que de nouveaux risques apparaissent avec des objets non conformes aux normes.
Alors pour tout de même être en fête sans apparaitre comme les fossoyeurs des commerces fermés, les acteurs du e-commerce prennent le chemin tracé par Amazon. Au plus fort des critiques, le géant américain expliquait que son activité était une bouffée d’oxygène pour les magasins et une façon de continuer à faire entrer du chiffre d’affaires malgré les devantures fermées. « Les ventes sur Internet auprès des enseignes magasins continuent de progresser rapidement, de 29 % au cours du 3e trimestre. Depuis le mois de janvier, l’augmentation du canal web des magasins est trois fois plus importante que pour la même période en 2019 (+41 % contre +13 %) », explique la fédération, citée par le quotidien.
Les professionnels du commerce en ligne plaident également le fait que la croissance enregistrée est certes exceptionnelle du fait de l’année Covid-19, mais respect la tendance globale de ces dernières années. « Internet est surtout le terrain de jeu privilégié pour les bonnes affaires, et notamment pour les opérations commerciales comme le Black Friday. Plus que jamais cette année, elles donnent le coup d’envoi des achats de Noêl, après avoir été décalées d’une semaine par rapport au calendrier habituel. Parmi les 67 % de Français qui avaient prévu d’en profiter en ligne, 9 sur 10 souhaitaient réaliser leurs achats de Noël durant cette période, selon un sondage Médiamétrie effectué entre le 28 octobre et le 4 novembre. Ces évolutions devraient permettre, selon la Fevad, au e-commerce d’atteindre 109,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires, en croissance de 6 % en 2020, contre 11,5 % en 2019 » ajoute Le Monde. Et de préciser que de nouveaux risques apparaissent avec des objets non conformes aux normes.