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La menace d’un confinement est réelle. Et avec elle des craintes tenaces sur l’impact économique de ces nouvelles restrictions. Pour autant, l’Insee donne quelques notes d’espoir. « Malgré l’apparition des variants, l’allongement du couvre-feu et les inquiétudes face à un troisième confinement, l’activité économique, qui a déjà livré quelques bonnes surprises en fin d’année 2020, a bien résisté en janvier. Selon l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), elle est située, sur ce premier mois de 2021, en recul de 4 % environ par rapport au niveau d’avant-crise – à savoir le quatrième trimestre 2019 –, et stable par rapport à décembre 2020 » nous apprend Le Monde.
Alors évidemment, la restauration, le tourisme, la culture et les loisirs en général sont sinistrés ou sous perfusion. Mais pour les autres secteurs, une certaine habitude semble s’être installée. « Malgré la perspective d’une pandémie plus longue que prévu, reportant à 2023 l’horizon de la reprise, l’investissement des entreprises et les échanges extérieurs, qui ont connu un rebond fin 2020, se maintiennent » ajoute le quotidien.
La principale inquiétude du point de vue économique demeure la consommation des ménages. Cette dernière est très liée au contexte d’incertitudes qui pousse à la prudence « Les fêtes passées, les Français ont d’autant plus réfréné leurs achats que les soldes ont commencé plus tard qu’en 2020 – le 20 janvier, au lieu du 8 janvier. De plus, l’extension du couvre-feu de 20 heures à 18 heures, progressivement appliquée dans les départements, n’est pas anodine : elle se traduit par une baisse de 6 % à 7 % des transactions par carte bancaire effectuées dans les commerces de proximité, estime l’Insee. « Le contexte d’incertitude actuel rend peut-être les ménages moins enclins à dépenser », admet Olivier Simon, chef de la division synthèse conjoncturelle » analyse Le Monde. Tandis que l’Insee se lance dans les pronostics avec trois scenarios en fonction des décisions à venir concernant un éventuel confinement. Estimant dans tous les cas que même avec un mois de blocage, les 6% de croissance du PIB pour 2021 sont envisageables.
Alors évidemment, la restauration, le tourisme, la culture et les loisirs en général sont sinistrés ou sous perfusion. Mais pour les autres secteurs, une certaine habitude semble s’être installée. « Malgré la perspective d’une pandémie plus longue que prévu, reportant à 2023 l’horizon de la reprise, l’investissement des entreprises et les échanges extérieurs, qui ont connu un rebond fin 2020, se maintiennent » ajoute le quotidien.
La principale inquiétude du point de vue économique demeure la consommation des ménages. Cette dernière est très liée au contexte d’incertitudes qui pousse à la prudence « Les fêtes passées, les Français ont d’autant plus réfréné leurs achats que les soldes ont commencé plus tard qu’en 2020 – le 20 janvier, au lieu du 8 janvier. De plus, l’extension du couvre-feu de 20 heures à 18 heures, progressivement appliquée dans les départements, n’est pas anodine : elle se traduit par une baisse de 6 % à 7 % des transactions par carte bancaire effectuées dans les commerces de proximité, estime l’Insee. « Le contexte d’incertitude actuel rend peut-être les ménages moins enclins à dépenser », admet Olivier Simon, chef de la division synthèse conjoncturelle » analyse Le Monde. Tandis que l’Insee se lance dans les pronostics avec trois scenarios en fonction des décisions à venir concernant un éventuel confinement. Estimant dans tous les cas que même avec un mois de blocage, les 6% de croissance du PIB pour 2021 sont envisageables.