Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Le Point, d'après une dépêche AFP, explique que « plus de 60 000 propriétaires européens de véhicules équipés de moteurs diesel truqués par le constructeur allemand Volkswagen veulent lancer une plainte en nom collectif contre le géant de l'automobile », d’après les informations de la presse régionale allemande.
L’article ajoute qu’« un cabinet d'avocats de Düsseldorf (ouest) réunit dans une fondation créée à cet effet les plaintes de clients européens de Volkswagen affectés par le scandale des moteurs truqués », d’après le quotidien régional Rheinische Post
L’article ajoute qu’« un cabinet d'avocats de Düsseldorf (ouest) réunit dans une fondation créée à cet effet les plaintes de clients européens de Volkswagen affectés par le scandale des moteurs truqués », d’après le quotidien régional Rheinische Post
Des clients non satisfaits
L'avocat d'affaires Julius Reiter cité par le journal, constate : « à ce jour, plus de 60 000 automobilistes se sont inscrits à la Stichting Volkswagen Car Claim », fondation de droit néerlandais dédiée au lancement d'une action collective contre le groupe de Wolfsburg (nord). Julius Reiters ajoute que « plusieurs centaines » de clients européens s'inscrivent « chaque semaine ». Pour lui, cette situation « montre que les clients de Volkswagen réclament toujours une indemnisation et ne sont pas satisfaits » par les solutions proposées par le groupe, « d'autant plus qu'ils ne sont pas logés à la même enseigne que les clients américains. »
Ainsi, comme le précise l’article, « début novembre, Volkswagen avait annoncé une compensation de 1 000 dollars par voiture pour les automobilistes américains affectés par la tricherie, et une assistance gratuite de trois ans en cas de panne, mais avait alors refusé d'étendre cette indemnisation aux clients européens. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Ainsi, comme le précise l’article, « début novembre, Volkswagen avait annoncé une compensation de 1 000 dollars par voiture pour les automobilistes américains affectés par la tricherie, et une assistance gratuite de trois ans en cas de panne, mais avait alors refusé d'étendre cette indemnisation aux clients européens. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.