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Fin janvier la SNCF lançait TGVMAX pour les 16-27 ans. Trois mois plus tard c’est un succès pour le groupe qui a vendu 80 000 abonnements et enregistrés 900 000 voyages ou réservations dans ce cadre. « Selon son dernier pointage, plus de 80.000 abonnements ont été vendus jusqu'ici, et ceux-ci sont largement utilisés puisqu'ils ont donné lieu depuis à 900.000 voyages réservés ou effectués. Alors que le trafic TGV est en hausse de 6% sur un an depuis le début de l'année, les utilisateurs de la carte TGVMax seraient à l'origine de la moitié de cette progression » écrit le journal Les Echos qui révèle l’information en exclusivité.
Avec cet abonnement, la SNCF cherchait à conjuguer deux objectifs : attirer les jeunes qui délaissent de plus en plus les TGV au profit de solutions moins chères type covoiturage ou cars et remplir les places vides des TGV à heure creuse. « Seuls 10% des trains, essentiellement ceux du vendredi soir et du dimanche soir, affichent en effet complet. Les autres prennent le départ avec un nombre plus ou moins important de places vides (le taux de remplissage moyen est d'environ 65%). Or les coûts pour faire circuler un train sont fixes, qu'il s'agisse des salaires du conducteur et des contrôleurs, de l'électricité qu'il consomme, et surtout du péage à acquitter pour circuler sur le réseau ferroviaire. La SNCF a donc tout intérêt à augmenter le nombre de passagers à bord, même si tous ne paient pas le prix fort, et TGVMax est un levier pour y parvenir » explique le quotidien économique. Les trains non concernés par l’offre représentent 6% des TGV. Il s’agit de ceux qui sont déjà très remplis par les professionnels et qui ne nécessitaient donc pas de coup de pouce.
Lire en intégralité l’article sur le site du journal Les Echos
Avec cet abonnement, la SNCF cherchait à conjuguer deux objectifs : attirer les jeunes qui délaissent de plus en plus les TGV au profit de solutions moins chères type covoiturage ou cars et remplir les places vides des TGV à heure creuse. « Seuls 10% des trains, essentiellement ceux du vendredi soir et du dimanche soir, affichent en effet complet. Les autres prennent le départ avec un nombre plus ou moins important de places vides (le taux de remplissage moyen est d'environ 65%). Or les coûts pour faire circuler un train sont fixes, qu'il s'agisse des salaires du conducteur et des contrôleurs, de l'électricité qu'il consomme, et surtout du péage à acquitter pour circuler sur le réseau ferroviaire. La SNCF a donc tout intérêt à augmenter le nombre de passagers à bord, même si tous ne paient pas le prix fort, et TGVMax est un levier pour y parvenir » explique le quotidien économique. Les trains non concernés par l’offre représentent 6% des TGV. Il s’agit de ceux qui sont déjà très remplis par les professionnels et qui ne nécessitaient donc pas de coup de pouce.
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