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En République slovaque, les responsables de l'action publique devraient profiter de la situation actuelle pour adopter des réformes qui permettront d'élever encore le niveau de vie de tous les Slovaques : c'est ce qui ressort d'un nouveau rapport de l'OCDE. Dans la dernière étude économique de l'OCDE, intitulée "République slovaque", sont évoqués les défis à court terme auxquels le pays est confronté, ainsi que les solutions susceptibles de rendre la croissance plus durable et plus inclusive à long terme.
Cette Étude, présentée à Bratislava par le Secrétaire général de l'OCDE M. Angel Gurría, le Premier ministre de la République slovaque M. Robert Fico et le ministre des Finances M. Peter Kazimír, permet de faire ressortir les domaines dans lesquels il convient en priorité de réformer le secteur public et de promouvoir les compétences, l'emploi et la productivité.
« L'économie slovaque est l'un des plus dynamiques et des plus concurrentielles de l'OCDE depuis plusieurs années, et cette performance est appelée à durer » a déclaré M. Gurría. « Cependant, malgré les résultats impressionnants obtenus pour créer des emplois, maintenir la pauvreté à de faibles niveaux et améliorer la protection de l'environnement, des difficultés subsistent. Il est possible d'en faire davantage pour garantir aux générations futures une société plus durable et inclusive, notamment en améliorant les résultats du système scolaire et les compétences, et en développant la qualité et l'efficience des services de santé. »
L'Étude souligne qu'il est urgent de répondre aux besoins de ceux qui ont été laissés pour compte pendant la longue période d'expansion économique. On peut y lire que le chômage de longue durée est toujours très important, 60 % des chômeurs étant sans travail depuis plus d'un an.
Par ailleurs, la communauté rom reste mal intégrée et se caractérise par de médiocres résultats scolaires, un taux d'emploi tout juste supérieur à 25 % alors que la moyenne nationale se situe à 70 % et une espérance de vie inférieure de 20 ans à celle du reste de la population. Le rapport met également en lumière les disparités régionales, parmi les plus élevées de toute l'OCDE.
Pour favoriser l'inclusivité et le bien-être, il faudra selon l'Étude adopter tout un éventail de réformes structurelles destinées à améliorer le secteur public et à garantir une meilleure prestation de services.
Il s'agit notamment de surveiller plus étroitement l'efficience des dépenses publiques et de réformer le secteur de l'éducation, y compris en relevant les salaires des enseignants, en multipliant les assistants pédagogiques et en instituant, pour les familles défavorisées, des transferts en espèces octroyés sous réserve que les enfants fréquentent des établissements d'éducation préscolaire.
Cette Étude, présentée à Bratislava par le Secrétaire général de l'OCDE M. Angel Gurría, le Premier ministre de la République slovaque M. Robert Fico et le ministre des Finances M. Peter Kazimír, permet de faire ressortir les domaines dans lesquels il convient en priorité de réformer le secteur public et de promouvoir les compétences, l'emploi et la productivité.
« L'économie slovaque est l'un des plus dynamiques et des plus concurrentielles de l'OCDE depuis plusieurs années, et cette performance est appelée à durer » a déclaré M. Gurría. « Cependant, malgré les résultats impressionnants obtenus pour créer des emplois, maintenir la pauvreté à de faibles niveaux et améliorer la protection de l'environnement, des difficultés subsistent. Il est possible d'en faire davantage pour garantir aux générations futures une société plus durable et inclusive, notamment en améliorant les résultats du système scolaire et les compétences, et en développant la qualité et l'efficience des services de santé. »
L'Étude souligne qu'il est urgent de répondre aux besoins de ceux qui ont été laissés pour compte pendant la longue période d'expansion économique. On peut y lire que le chômage de longue durée est toujours très important, 60 % des chômeurs étant sans travail depuis plus d'un an.
Par ailleurs, la communauté rom reste mal intégrée et se caractérise par de médiocres résultats scolaires, un taux d'emploi tout juste supérieur à 25 % alors que la moyenne nationale se situe à 70 % et une espérance de vie inférieure de 20 ans à celle du reste de la population. Le rapport met également en lumière les disparités régionales, parmi les plus élevées de toute l'OCDE.
Pour favoriser l'inclusivité et le bien-être, il faudra selon l'Étude adopter tout un éventail de réformes structurelles destinées à améliorer le secteur public et à garantir une meilleure prestation de services.
Il s'agit notamment de surveiller plus étroitement l'efficience des dépenses publiques et de réformer le secteur de l'éducation, y compris en relevant les salaires des enseignants, en multipliant les assistants pédagogiques et en instituant, pour les familles défavorisées, des transferts en espèces octroyés sous réserve que les enfants fréquentent des établissements d'éducation préscolaire.