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Jeff Bezos est-il toujours l’homme le plus riche du monde ? Largement en tête du classement des fortunes mondiales grâce à la valeur en bourse d’Amazon, le patron de ce groupe planétaire a vu chuter son patrimoine mercredi 28 mars en séance boursière. La titre a en effet dévissé de 7,4 à la Bourse de New York. En cause, une déclaration contre Amazon de Donald Trump.
C’est une des conséquences des prises de paroles intempestives du président américain. En déclarant qu’il allait mettre en place des mesures contraignantes contre le groupe, les investisseurs ont réagi et le titre est tombé. « Outre les suspicions du président concernant l'impact d'Amazon sur la destruction d'emplois, Donald Trump estime que l'entreprise bénéficie de largesses fiscales accordées par l'État. Tout cela sans toutefois apporter de preuve. Rappelons que le PDG du distributeur, Jeff Bezos, possède le Washington Post, que Trump a souvent critiqué » explique Le Figaro.
Sans qu’il s’agisse d’une annonce de programme ou de plan précis, le président américain a ainsi avancé la possibilité d’un changement de réglementation pour pénalise fiscalement Amazon. Il n’en fallait pas plus pour agiter la bourse de New-York. « Le titre est un peu remonté en fin d'après-midi alors qu'un responsable de la Maison blanche a déclaré qu'il ne connaissait pas de changements de politique spécifiques liés à Amazon pour le moment, ajoutant qu'il était toujours en train d'examiner différentes options sur un éventail de questions politiques. Toutefois, le groupe perdait toujours 5% à 19h » précise le quotidien français.
Sur la forme, une déclaration non programmatique en quelques mots lapidaires est évidemment contestable. Sur le fond, le sujet Amazon en est bien un. L’ogre de la distribution sur internet continue à grossir, emportant sur son passage des centaines de petits acteurs de la culture et du commerce.
C’est une des conséquences des prises de paroles intempestives du président américain. En déclarant qu’il allait mettre en place des mesures contraignantes contre le groupe, les investisseurs ont réagi et le titre est tombé. « Outre les suspicions du président concernant l'impact d'Amazon sur la destruction d'emplois, Donald Trump estime que l'entreprise bénéficie de largesses fiscales accordées par l'État. Tout cela sans toutefois apporter de preuve. Rappelons que le PDG du distributeur, Jeff Bezos, possède le Washington Post, que Trump a souvent critiqué » explique Le Figaro.
Sans qu’il s’agisse d’une annonce de programme ou de plan précis, le président américain a ainsi avancé la possibilité d’un changement de réglementation pour pénalise fiscalement Amazon. Il n’en fallait pas plus pour agiter la bourse de New-York. « Le titre est un peu remonté en fin d'après-midi alors qu'un responsable de la Maison blanche a déclaré qu'il ne connaissait pas de changements de politique spécifiques liés à Amazon pour le moment, ajoutant qu'il était toujours en train d'examiner différentes options sur un éventail de questions politiques. Toutefois, le groupe perdait toujours 5% à 19h » précise le quotidien français.
Sur la forme, une déclaration non programmatique en quelques mots lapidaires est évidemment contestable. Sur le fond, le sujet Amazon en est bien un. L’ogre de la distribution sur internet continue à grossir, emportant sur son passage des centaines de petits acteurs de la culture et du commerce.