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Une nouvelle étape est franchie vis-à-vis de l’Iran. Le gouvernement américain vient d’annoncer que de nouvelle sanctions seront déployées si les clients du pétrole iranien continuaient leur commerce. « « Les exemptions qui permettent à huit pays d’acheter du pétrole iranien malgré l’embargo imposé par Washington depuis novembre vont être supprimées. À partir de mai, la Chine, l’Inde, la Turquie, le Japon, la Corée du Sud, Taïwan, l’Italie et la Grèce seront exposés à des sanctions américaines s’ils continuent d’acheter du brut iranien. Donald Trump espère ainsi atteindre son objectif qui consiste à réduire à zéro les exportations de pétrole iranien et priver ainsi le régime de sa principale source de revenus. « Aucune période de grâce » ne sera accordée aux pays qui bénéficiaient jusqu’à présent des exportations iraniennes, a prévenu le secrétaire d’État Mike Pompeo » rapporte Le Figaro.
C’est en fait la deuxième étape du plan anti iranien de Donald Trump. A l’époque des premières sanctions contre le pays, des dérogations avaient été mises en place pour éviter un choc trop important sur le secteur pétrolier mondial. Une importante annulation des transactions de pétrole avait en effet pour risque de bousculer le marché mondial. « L’Arabie saoudite et d’autres pays de l’Opep feront plus que compenser la différence de production de pétrole », a affirmé Donald Trump sur Twitter. Une annonce que le gouvernement saoudien s’est empressé de commenter sans bouder son plaisir face à son ennemi séculier iranien. Le ministre saoudien du pétrole, qui représente le pays auprès de l’organisation pétrolière, a ainsi promis que le Riyad avait mis en place une politique de stabilisation du marché quel que soit le contexte économique mondial. « La Turquie, pour sa part, a affirmé qu’elle rejetait les sanctions américaines sur l’achat de pétrole iranien. Ces annonces ont fait bondir le cours du pétrole. Le Brent gagnait 3 % lundi après-midi, à 74,10 dollars le baril. Il atteint ainsi son plus haut niveau depuis le mois de novembre » précise Le Figaro.
C’est en fait la deuxième étape du plan anti iranien de Donald Trump. A l’époque des premières sanctions contre le pays, des dérogations avaient été mises en place pour éviter un choc trop important sur le secteur pétrolier mondial. Une importante annulation des transactions de pétrole avait en effet pour risque de bousculer le marché mondial. « L’Arabie saoudite et d’autres pays de l’Opep feront plus que compenser la différence de production de pétrole », a affirmé Donald Trump sur Twitter. Une annonce que le gouvernement saoudien s’est empressé de commenter sans bouder son plaisir face à son ennemi séculier iranien. Le ministre saoudien du pétrole, qui représente le pays auprès de l’organisation pétrolière, a ainsi promis que le Riyad avait mis en place une politique de stabilisation du marché quel que soit le contexte économique mondial. « La Turquie, pour sa part, a affirmé qu’elle rejetait les sanctions américaines sur l’achat de pétrole iranien. Ces annonces ont fait bondir le cours du pétrole. Le Brent gagnait 3 % lundi après-midi, à 74,10 dollars le baril. Il atteint ainsi son plus haut niveau depuis le mois de novembre » précise Le Figaro.