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Ils n’avaient que relance et plans de financement pour repartir à la bouche. Désormais, c’est le coup de massue d’un nouveau confinement. Depuis le printemps dernier, les entreprises comptaient les pots cassés et tentaient de trouver des solutions pour rebondir. Mais l’annonce d’un reconfinement est un retour en arrière difficile. « Alors que les autorités s'apprêtent à annoncer de nouvelles mesures sanitaires pour faire face à l'accélération de l'épidémie de coronavirus en France, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a mis en garde mardi 27 octobre contre le risque d'un "effondrement de l'économie française" en cas de "reconfinement total ou partiel". Dans un communiqué, l'organisation patronale affirme que " les entreprises sont aujourd'hui beaucoup plus fragiles qu'au mois de mars et beaucoup d'entre elles, notamment les plus petites, seraient dans l'incapacité d'assumer un endettement supplémentaire" » rapporte Boursorama.
D’autant que les milliards annoncés avaient déjà un impact. Désormais si on doit entrer dans une nouvelle zone d’urgence avec des mesures restrictives, la dette publique va encore s’envoler. « Plus de 120 milliards d'euros de prêts garantis par l'État (PGE) ont été accordés depuis le début de la crise sanitaire pour soutenir la trésorerie des entreprises, alors que leur endettement atteignait déjà un niveau record avant la crise. En cas de reconfinement total ou partiel, on risquerait "d'assister à un effondrement de l'économie française, une forme de troisième vague, économique celle-là, sans précédent", avertit la CPME qui veut "tout faire" pour éviter cette situation » appuie le site économique.
Pour les entreprises, la question n’est plus tant de savoir si elles recevront des aides mais de savoir si elles peuvent avoir une activité. Car désormais l’incertitude et les craintes permanentes du bousculement de nos habitudes et capacités à travailler ne sont plus perçues comme un accident mais comme une réalité. Et dans ces conditions, entreprendre est impossible.
D’autant que les milliards annoncés avaient déjà un impact. Désormais si on doit entrer dans une nouvelle zone d’urgence avec des mesures restrictives, la dette publique va encore s’envoler. « Plus de 120 milliards d'euros de prêts garantis par l'État (PGE) ont été accordés depuis le début de la crise sanitaire pour soutenir la trésorerie des entreprises, alors que leur endettement atteignait déjà un niveau record avant la crise. En cas de reconfinement total ou partiel, on risquerait "d'assister à un effondrement de l'économie française, une forme de troisième vague, économique celle-là, sans précédent", avertit la CPME qui veut "tout faire" pour éviter cette situation » appuie le site économique.
Pour les entreprises, la question n’est plus tant de savoir si elles recevront des aides mais de savoir si elles peuvent avoir une activité. Car désormais l’incertitude et les craintes permanentes du bousculement de nos habitudes et capacités à travailler ne sont plus perçues comme un accident mais comme une réalité. Et dans ces conditions, entreprendre est impossible.