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Elle avait pourtant promis que les prix n’augmenteraient pas. Ségolène Royal va être dans l’obligation de s’expliquer sur l’annonce de l’augmentation de 1,12% des prix des péages autoroutiers. Avec une inflation à +0,2%, aucune excuse n’est à chercher dans ce domaine. « Cette hausse, qui était attendue après un gel des tarifs en 2015, s'explique en majorité par l'augmentation de la redevance domaniale, le «loyer» payé par les entreprises concessionnaires d'autoroutes à l'État pour l'occupation du domaine public. Elle a été voté la semaine dernière par le Comité national des usagers des autoroutes » précise Le Figaro.
Les autoroutes du Sud plus touchées
« Dans le détail, ce sont les automobilistes empruntant les autoroutes du sud de la France (ASF) qui seront les plus touchés (+1,63%). Les réseaux Area (région Rhône-Alpes, + 1,27%) et APRR (Centre et Est de la France, +1,23%) complètent le podium. À l'inverse, c'est le réseau Cofiroute (centre et Ouest de la France) qui affiche la plus faible hausse » continue le quotidien national.
Les associations représentantes des automobilistes ont vite fait entendre leur mécontentement. Cité par le Figaro, le délégué national de 40 Millions d’automobilistes, Pierre Chasseray, s’indigne ; « On avait la sensation que la ministre (de l'Ecologie Ségolène) Royal tenait ses engagements de gels de tarifs, et au final on se rend bien compte que c'est du vent. »
« Ce sont donc finalement les sociétés d'autoroutes qui ont remporté leur bras de fer avec Ségolène Royal qui avait exclut dès octobre 2014 une hausse des tarifs des péages. Trois mois plus tard, c'est le premier ministre Manuel Valls qui annonçait le gel des tarifs. Et pourtant, début décembre, Les Échos révèlent que les prix des péages autoroutiers allaient bel et bien repartir à la hausse. Une envolée des prix qui sera supérieure aux 0,57% annoncés jusque-là. Ségolène Royal assure qu'elle n'était pas au courant. Car l'augmentation des péages le 1er février 2016 résulte de l'application des contrats renégociée au forceps par... la ministre en personne début 2015 » lit-on plus loin.
Lire en intégralité l’article du Figaro
Les associations représentantes des automobilistes ont vite fait entendre leur mécontentement. Cité par le Figaro, le délégué national de 40 Millions d’automobilistes, Pierre Chasseray, s’indigne ; « On avait la sensation que la ministre (de l'Ecologie Ségolène) Royal tenait ses engagements de gels de tarifs, et au final on se rend bien compte que c'est du vent. »
« Ce sont donc finalement les sociétés d'autoroutes qui ont remporté leur bras de fer avec Ségolène Royal qui avait exclut dès octobre 2014 une hausse des tarifs des péages. Trois mois plus tard, c'est le premier ministre Manuel Valls qui annonçait le gel des tarifs. Et pourtant, début décembre, Les Échos révèlent que les prix des péages autoroutiers allaient bel et bien repartir à la hausse. Une envolée des prix qui sera supérieure aux 0,57% annoncés jusque-là. Ségolène Royal assure qu'elle n'était pas au courant. Car l'augmentation des péages le 1er février 2016 résulte de l'application des contrats renégociée au forceps par... la ministre en personne début 2015 » lit-on plus loin.
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