(Bouygues Télécom)
Filiale du groupe BTP, l’opérateur affirme que son objectif est de rester autonome. Mais cela ne pourrait se faire qu’au prix d’une réduction des coûts de l’ordre de 300 millions d’euros par an, avec l’annonce de la suppression de 1 500 à 2 000 postes, selon les syndicats.
Numericable ayant fait main basse sur SFR, les potentiels acquéreurs de Bouygues sont désormais au nombre de deux : Orange et la maison mère de Free, Iliad. Selon l’agence Bloomberg citant des sources proches du dossier, Iliad aurait fait une offre informelle, comprise entre quatre et cinq milliards d’euros, soit un montant inférieur à la somme réclamée par Bouygues (entre sept et huit milliards d’euros). Par l’intermédiaire des banques Lazard et Credit Suisse, Orange aurait de son côté valorisé Bouygues Télécom à hauteur de 6 milliards d’euros. Le groupe mène avec son concurrent des discussions préliminaires portant notamment sur l’opportunité d’un rapprochement capitalistique.
L'hypothèse la plus avancée est celle d'une transaction en deux temps, avec dans un premier temps l’acquisition de Bouygues Telecom par Orange pour 6 milliards d'euros, suivie d'une entrée au capital d'Orange du Groupe Bouygues. Une partie du réseau et des fréquences de Bouygues Telecom pourrait ensuite être cédée à Free pour 2 milliards d'euros, afin de remédier aux problèmes de concurrence que poserait un tel rapprochement.
Numericable ayant fait main basse sur SFR, les potentiels acquéreurs de Bouygues sont désormais au nombre de deux : Orange et la maison mère de Free, Iliad. Selon l’agence Bloomberg citant des sources proches du dossier, Iliad aurait fait une offre informelle, comprise entre quatre et cinq milliards d’euros, soit un montant inférieur à la somme réclamée par Bouygues (entre sept et huit milliards d’euros). Par l’intermédiaire des banques Lazard et Credit Suisse, Orange aurait de son côté valorisé Bouygues Télécom à hauteur de 6 milliards d’euros. Le groupe mène avec son concurrent des discussions préliminaires portant notamment sur l’opportunité d’un rapprochement capitalistique.
L'hypothèse la plus avancée est celle d'une transaction en deux temps, avec dans un premier temps l’acquisition de Bouygues Telecom par Orange pour 6 milliards d'euros, suivie d'une entrée au capital d'Orange du Groupe Bouygues. Une partie du réseau et des fréquences de Bouygues Telecom pourrait ensuite être cédée à Free pour 2 milliards d'euros, afin de remédier aux problèmes de concurrence que poserait un tel rapprochement.