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Il ne s’agit pas d’une redite du PGE. Même si dans les faits, il s’agit bien d’un prêt pour les entreprises et qu’il est garantie par l’État. La différence tient au fait que les PGE étaient destinés aux sociétés avec une trésorerie en difficulté. Tandis qu’en l’occurrence, les 20 milliards annoncés ont pour objectif dans le cadre du plan de relance de soutenir les entreprises qui peuvent rebondir. Celles qui sont en difficultés à cause d’une coupure dans leur activité mais qui peuvent rebondir avec un petit coup de pouce.
Elles sont nombreuses ses entreprises qui tenaient la route avant la crise et sont menacées ou fragilisées aujourd’hui. « Nous avons, et j'ai personnellement, entendu les critiques d'un certain nombre d'économistes qui disaient que ces prêts participatifs étaient insuffisants, la reconstitution des fonds propres devait être plus forte. Et donc nous avons fixé désormais comme ambition, 20 milliards d'euros d'encours de prêts participatifs pour la reconstitution des fonds propres des entreprises », a expliqué le ministre de l’Économie en conférence de presse. Bruno Le Maire a détaillé les objectifs de cette mesure qui doit participer à recapitaliser les entreprises et rassurer les banques qui prêtent par une garantie de l’État.
« Introduit en 1978, le prêt participatif est un objet hybride, à mi-chemin entre le prêt à long terme et la prise de participation au capital d'une entreprise. Il est remboursé en dernier, une fois que l'emprunteur a honoré toutes ses autres créances bancaires, et ne confère aucun droit de vote au prêteur. En échange, celui-ci se rémunère grâce à un taux d'intérêt fixe, en plus d'une éventuelle participation aux bénéfices de l'entreprise définie par contrat » explique l’AFP.
Les banques vont donc traiter les dossiers avec l’assurance que l’État remboursera jusqu’à 2 milliards d’euros en cas de défauts de paiements.
Elles sont nombreuses ses entreprises qui tenaient la route avant la crise et sont menacées ou fragilisées aujourd’hui. « Nous avons, et j'ai personnellement, entendu les critiques d'un certain nombre d'économistes qui disaient que ces prêts participatifs étaient insuffisants, la reconstitution des fonds propres devait être plus forte. Et donc nous avons fixé désormais comme ambition, 20 milliards d'euros d'encours de prêts participatifs pour la reconstitution des fonds propres des entreprises », a expliqué le ministre de l’Économie en conférence de presse. Bruno Le Maire a détaillé les objectifs de cette mesure qui doit participer à recapitaliser les entreprises et rassurer les banques qui prêtent par une garantie de l’État.
« Introduit en 1978, le prêt participatif est un objet hybride, à mi-chemin entre le prêt à long terme et la prise de participation au capital d'une entreprise. Il est remboursé en dernier, une fois que l'emprunteur a honoré toutes ses autres créances bancaires, et ne confère aucun droit de vote au prêteur. En échange, celui-ci se rémunère grâce à un taux d'intérêt fixe, en plus d'une éventuelle participation aux bénéfices de l'entreprise définie par contrat » explique l’AFP.
Les banques vont donc traiter les dossiers avec l’assurance que l’État remboursera jusqu’à 2 milliards d’euros en cas de défauts de paiements.