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209 millions d’abonnés et 1,35 milliard de dollars de bénéfice net : Netflix va bien. La plateforme de VOD a fait le bilan de son premier semestre fin juin et avec une hausse de 19%, le chiffre d’affaires de 7,3 milliards de dollars se porte bien. Mais, relève Les Numériques, ces bons résultats n’ont pas excité les investisseurs : « En effet, à Wall Street, ces chiffres ont été accueillis froidement, avec un titre Netflix dont le cours baissait de 1,5 % dans les échanges d'après clôture. Dans son communiqué de presse, Netflix a beau rappeler être en avance sur ses prévisions de croissance de sa base d'abonnés, et avoir su augmenter ses tarifs et revenus au niveau mondial malgré une concurrence de plus en plus féroce, les analystes restent dubitatifs. »
Car aussi bons soient-ils, ces résultats n’ont pas fait changer d’avis les observateurs du secteur qui estiment que le pionnier de la VOD a atteint - ou presque – son pic. Car même si certains marchés ont encore du potentiel, l’époque où Netflix annonçait poser son drapeau dans un nouveau pays ou une nouvelle région est révolue.
Pour faire face à ce ralentissement annoncé, la société annonce de nouveaux leviers de progression, ajoute le site spécialisé : « La plateforme a notamment lancé sa boutique de produits dérivés et a profité de cette publication pour confirmer son intention de proposer des jeux vidéo. Cette offre — que l'on imagine être de cloud gaming, ou jeu en streaming — sera proposée sans surcoût pour les abonnés et Netflix préfère l'évoquer comme un nouveau type de contenus, plutôt qu'un service à part entière. On ne sait pas exactement quels genres de jeux seront disponibles, mais l'entreprise évoque des titres issus de l'univers mobile, sans doute plus proches de ceux d'un Apple Arcade que de grosses productions AAA, comme on en voit sur consoles ou sur des services de cloud gaming spécialisés ».
Car aussi bons soient-ils, ces résultats n’ont pas fait changer d’avis les observateurs du secteur qui estiment que le pionnier de la VOD a atteint - ou presque – son pic. Car même si certains marchés ont encore du potentiel, l’époque où Netflix annonçait poser son drapeau dans un nouveau pays ou une nouvelle région est révolue.
Pour faire face à ce ralentissement annoncé, la société annonce de nouveaux leviers de progression, ajoute le site spécialisé : « La plateforme a notamment lancé sa boutique de produits dérivés et a profité de cette publication pour confirmer son intention de proposer des jeux vidéo. Cette offre — que l'on imagine être de cloud gaming, ou jeu en streaming — sera proposée sans surcoût pour les abonnés et Netflix préfère l'évoquer comme un nouveau type de contenus, plutôt qu'un service à part entière. On ne sait pas exactement quels genres de jeux seront disponibles, mais l'entreprise évoque des titres issus de l'univers mobile, sans doute plus proches de ceux d'un Apple Arcade que de grosses productions AAA, comme on en voit sur consoles ou sur des services de cloud gaming spécialisés ».