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Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique que « les cheminots lancent le mouvement de protestation de cette semaine contre la loi travail. Trois syndicats appellent à la mobilisation dès ce mardi soir pour une action nationale demain, mercredi 1er juin. »
Il ajoute que « le conflit se durcit alors que le gouvernement refuse toujours de reculer sur la réforme du Code du travail portée par Myriam El Khomri. »
Il ajoute que « le conflit se durcit alors que le gouvernement refuse toujours de reculer sur la réforme du Code du travail portée par Myriam El Khomri. »
« Reculer serait une faute politique »
Quant au Premier ministre Manuel Valls, il a assuré « lors de la réunion hebdomadaire des députés socialistes à l'Assemblée nationale que « reculer » sur le projet de loi travail serait « une faute politique » qui donnerait « un boulevard à la droite », assurant de sa volonté de « tenir sur le fond du texte » et notamment l'article 2, le plus contesté. »
Le Premier ministre « a également jugé « pas acceptables » les propos controversés du patron du Medef Pierre Gattaz qualifiant les grévistes de la CGT de « voyous » et de « terroristes », tout en estimant que les « blocages » n'étaient pas acceptables non plus, selon des propos transmis par un participant. La CGT va porter plainte contre Pierre Gattaz. »
Myriam El Khomri a assuré sur RTL que « dans le pays, on a trop souvent la culture de l'affrontement. (...) Or, cette loi provient d'une culture du compromis. » L’article ajoute qu’elle « n'entend pas donner un blanc-seing au patron de la centrale. Emboîtant ainsi le pas au patron des patrons qui invitait le gouvernement à ne pas céder « au chantage, aux violences, à l'intimidation, à la terreur », elle regrette que le syndicat ait joué « la politique de la chaise vide » et n'ait pas souhaité participer aux négociations entourant la rédaction du texte portant réforme du Code du travail. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Le Premier ministre « a également jugé « pas acceptables » les propos controversés du patron du Medef Pierre Gattaz qualifiant les grévistes de la CGT de « voyous » et de « terroristes », tout en estimant que les « blocages » n'étaient pas acceptables non plus, selon des propos transmis par un participant. La CGT va porter plainte contre Pierre Gattaz. »
Myriam El Khomri a assuré sur RTL que « dans le pays, on a trop souvent la culture de l'affrontement. (...) Or, cette loi provient d'une culture du compromis. » L’article ajoute qu’elle « n'entend pas donner un blanc-seing au patron de la centrale. Emboîtant ainsi le pas au patron des patrons qui invitait le gouvernement à ne pas céder « au chantage, aux violences, à l'intimidation, à la terreur », elle regrette que le syndicat ait joué « la politique de la chaise vide » et n'ait pas souhaité participer aux négociations entourant la rédaction du texte portant réforme du Code du travail. »
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