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Puisque l’on a pu s’en passer, pourquoi s’y remettre. Les entreprises qui avaient un budget voyage pour leurs salariés vont nécessairement se poser la question dans les prochains mois. « Les commerciaux et les techniciens, indispensables au business, sont certes repartis sur les routes, mais pas toujours au même rythme. Les top managers (en particulier les PDG) ne voyagent plus autant qu’avant. Déplacements domestiques, européens ou intercontinentaux… Plus la distance est importante, plus l’écart avec les niveaux d’avant-crise est important. L’an passé déjà, Bill Gates prédisait que 50 % des voyages d’affaires allaient disparaître. Plus optimistes, certains affirment que seuls 25 % des voyages long-courriers seraient perdus. Si le diagnostic est difficile, tout le monde reconnaît que le manque à gagner est colossal » explique Le Figaro dans un article dédié à ce sujet .
Pour les compagnies aériennes, ferroviaires et hôtels, mais aussi pour les taxis et tous les professionnels concernés, la perspective d’une chute de la clientèle professionnelle est inquiétante. Car une part importante des services proposés lui et destinée. Souvent plus haut de gamme que et rémunératrice en dehors des pics touristiques. « En attendant que les multinationales réenclenchent la machine des voyages, les agences de voyages cherchent, pour leur part, à attirer davantage de petites entreprises - qui ont besoin de se déplacer en France. Pour beaucoup de grandes entreprises encore (Sanofi…), seuls les déplacements jugés essentiels au business («business critical») sont autorisés, à l’étranger. Chez Nestlé France, ils doivent être validés par le président, et ce jusqu’au 31 mars. Chez JPMorgan, les banquiers ne se déplacent à l’étranger - en Europe ou aux États-Unis - que pour rencontrer des clients. Les réunions à Londres avec des membres de la banque ne sont pas d’actualité » appuie le quotidien.
Les protocoles mis en place pour les réunions à distance ont fonctionné et plutôt que de recourir à des logistiques qui, on l’a vu ces deux dernières années, peuvent tomber à l’eau, il est tout à fait probable que ces pratiques survivent aux resterictions Covid.
Pour les compagnies aériennes, ferroviaires et hôtels, mais aussi pour les taxis et tous les professionnels concernés, la perspective d’une chute de la clientèle professionnelle est inquiétante. Car une part importante des services proposés lui et destinée. Souvent plus haut de gamme que et rémunératrice en dehors des pics touristiques. « En attendant que les multinationales réenclenchent la machine des voyages, les agences de voyages cherchent, pour leur part, à attirer davantage de petites entreprises - qui ont besoin de se déplacer en France. Pour beaucoup de grandes entreprises encore (Sanofi…), seuls les déplacements jugés essentiels au business («business critical») sont autorisés, à l’étranger. Chez Nestlé France, ils doivent être validés par le président, et ce jusqu’au 31 mars. Chez JPMorgan, les banquiers ne se déplacent à l’étranger - en Europe ou aux États-Unis - que pour rencontrer des clients. Les réunions à Londres avec des membres de la banque ne sont pas d’actualité » appuie le quotidien.
Les protocoles mis en place pour les réunions à distance ont fonctionné et plutôt que de recourir à des logistiques qui, on l’a vu ces deux dernières années, peuvent tomber à l’eau, il est tout à fait probable que ces pratiques survivent aux resterictions Covid.