ILD
Les Jeux Olympiques de Rio étaient un rendez-vous incontournable pour les sportifs de haut niveau, mais pas seulement. Pour les entreprises aussi, les grands rendez-vous de ce type sont une occasion de mieux se faire connaitre. Donner une visibilité internationale à leur marque mais aussi s’associer à un événement positif.
Le ticket d’entrée dans les prestigieux lieux de compétition olympique n’est pas cher, tant les sportifs qui y participent sont loin de l’image que l’on peut se faire du sport de haut niveau. « Loin des salaires mirobolants de leurs confrères footballeurs, une majorité d’athlètes ne peuvent pas vivre de leur seul salaire de sportif. D’après un rapport remis en février dernier au secrétaire d’État chargé des Sports, Thierry Braillard, plus de 40 % des athlètes de haut-niveau vivent en dessous du seuil de pauvreté et une majorité d’entre-eux n’a pas le temps d’anticiper sa retraite sportive. Face à cela, certaines entreprises ont décidé de réagir. Aujourd’hui, 175 athlètes de haut-niveau bénéficient d’un contrat d’insertion professionnelle (CIP), aménagé en fonction de leurs impératifs sportifs » raconte le journal Les Echos.
Ainsi, en plus de pouvoir accoler leur logo aux événements, les entreprises peuvent démontrer qu’elles sont engagées aux côtés du sport dans la longue durée et non juste aux moments où les disciplines brillent.
Parmi les entreprises les plus engagées dans le domaine, le journal économique avance le positionnement à l’avant-garde de la SNCF, la RATP et EDF. A elles trois, les entreprises ont soutenu 64 sportifs en proposant à la plupart des contrats d’insertion professionnelle en plus d’un accompagnement lors des jeux. De quoi favoriser l’esprit d’équipe et l’implication dans une entreprise qui a permis de faire vivre un rêve professionnel en permettant une reconversion.
Lire l’intégralité de l’article sur le site Les Echos
Le ticket d’entrée dans les prestigieux lieux de compétition olympique n’est pas cher, tant les sportifs qui y participent sont loin de l’image que l’on peut se faire du sport de haut niveau. « Loin des salaires mirobolants de leurs confrères footballeurs, une majorité d’athlètes ne peuvent pas vivre de leur seul salaire de sportif. D’après un rapport remis en février dernier au secrétaire d’État chargé des Sports, Thierry Braillard, plus de 40 % des athlètes de haut-niveau vivent en dessous du seuil de pauvreté et une majorité d’entre-eux n’a pas le temps d’anticiper sa retraite sportive. Face à cela, certaines entreprises ont décidé de réagir. Aujourd’hui, 175 athlètes de haut-niveau bénéficient d’un contrat d’insertion professionnelle (CIP), aménagé en fonction de leurs impératifs sportifs » raconte le journal Les Echos.
Ainsi, en plus de pouvoir accoler leur logo aux événements, les entreprises peuvent démontrer qu’elles sont engagées aux côtés du sport dans la longue durée et non juste aux moments où les disciplines brillent.
Parmi les entreprises les plus engagées dans le domaine, le journal économique avance le positionnement à l’avant-garde de la SNCF, la RATP et EDF. A elles trois, les entreprises ont soutenu 64 sportifs en proposant à la plupart des contrats d’insertion professionnelle en plus d’un accompagnement lors des jeux. De quoi favoriser l’esprit d’équipe et l’implication dans une entreprise qui a permis de faire vivre un rêve professionnel en permettant une reconversion.
Lire l’intégralité de l’article sur le site Les Echos