ILD
Qu’est-ce que Renault va faire pour rester sur une bonne dynamique ? De nombreuses questions se posent autour de l’avenir proche de la société. Des réponses sont fermement attendues le jeudi 15 juin lors de l’assemblée générale à laquelle les actionnaires sont conviés.
L’année a été bonne pour le constructeur et le patron, Carlos Ghosn, arrive sans honte devant les actionnaires. 3,18 millions de véhicules vendus et une progression de 13% et des performances meilleures que PSA (ce qui n’était pas arrivé depuis plus de trente ans).
Parmi les questions que les observateurs et investisseurs se posent, l’avenir de l’alliance avec Nissan mais aussi Mitsubishi est centrale. La stratégie a été jusqu’ici payante et on se demande si le groupe va vouloir aller encore plus loin. Renault possède 43% de Nissan et cette bonne année a fait monter le losange à un niveau quasiment équivalent. L’alliance avec les deux marques japonaises (Mitsubishi a été acheté par Nissan cette année) pourrait-elle aller de plus en plus en direction d’une fusion avec un top management commun ?
La question se pose et amène la suivante : Quel avenir et quelle succession pour Carlos Ghosn ? Le patron des deux groupes a en effet déjà lâché l’aspect opérationnel des deux marques japonaises pour ne rester que Président et son mandat Renault doit se terminer l’année prochaine. A soixante-trois ans il n’est pas trop vieux pour continuer mais tout semble indiquer que la suite est déjà en prévision. « Carlos Ghosn, soixante-trois ans, va-t-il en demander le renouvellement pour quatre ans, ou plutôt prendre du recul ? Qui prendra alors la suite ? Un Renault ? Un dirigeant venu de l'extérieur ? L'élu sera-t-il capable d'évoluer dans cet attelage si particulier composé par les trois constructeurs de l'Alliance ? » se demandent Les Echos.
L’année a été bonne pour le constructeur et le patron, Carlos Ghosn, arrive sans honte devant les actionnaires. 3,18 millions de véhicules vendus et une progression de 13% et des performances meilleures que PSA (ce qui n’était pas arrivé depuis plus de trente ans).
Parmi les questions que les observateurs et investisseurs se posent, l’avenir de l’alliance avec Nissan mais aussi Mitsubishi est centrale. La stratégie a été jusqu’ici payante et on se demande si le groupe va vouloir aller encore plus loin. Renault possède 43% de Nissan et cette bonne année a fait monter le losange à un niveau quasiment équivalent. L’alliance avec les deux marques japonaises (Mitsubishi a été acheté par Nissan cette année) pourrait-elle aller de plus en plus en direction d’une fusion avec un top management commun ?
La question se pose et amène la suivante : Quel avenir et quelle succession pour Carlos Ghosn ? Le patron des deux groupes a en effet déjà lâché l’aspect opérationnel des deux marques japonaises pour ne rester que Président et son mandat Renault doit se terminer l’année prochaine. A soixante-trois ans il n’est pas trop vieux pour continuer mais tout semble indiquer que la suite est déjà en prévision. « Carlos Ghosn, soixante-trois ans, va-t-il en demander le renouvellement pour quatre ans, ou plutôt prendre du recul ? Qui prendra alors la suite ? Un Renault ? Un dirigeant venu de l'extérieur ? L'élu sera-t-il capable d'évoluer dans cet attelage si particulier composé par les trois constructeurs de l'Alliance ? » se demandent Les Echos.