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Le développement de la finance islamique a prouvé ces dernières décennies qu’elle n’avait rien d’anecdotique ou conjoncturelle. La tendance se confirme dans un nombre croissant de pays et le secteur a pris une ampleur très importante dans le système économique mondial ce qui, explique le FMI, « contribue à l'expansion des circuits financiers et à l'inclusion financière dans bon nombre de pays, mais pose aussi des problèmes aux autorités de contrôle et aux banques centrales. »
« Si la banque islamique représente une petite partie des actifs financiers mondiaux, elle est présente dans plus de 60 pays et est devenue importante pour le système dans 14 territoires. La banque islamique implique des opérations, des structures de bilan et des risques qui diffèrent de ceux de la banque conventionnelle » continue le Fonds monétaire international dans un communiqué.
Preuve de l’importance de la finance islamique, le Conseil d’administration de l’organisation internationale a publié deux documents dédiés à ce sujet. Le texte explique en effet qu’il « est nécessaire de mettre en place un environnement qui favorise la stabilité financière et le développement sain de la banque islamique, y compris sur le plan du cadre juridique, du dispositif prudentiel, du filet de sécurité financière, de la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, ainsi que de la gestion des liquidités. »
Des conseils techniques, partie de la mission dont s’est dotée le FMI, sont donc proposés pour que les Etats concernés puissent avoir des clés de compréhensions et d’action. « Les administrateurs soulignent qu'il importe de mettre en place des régimes de résolution robustes qui sont propres aux banques islamiques, ainsi que d'autres filets de sécurité financière pour les pays où opèrent des banques islamiques. Notant la lenteur des progrès accomplis dans ces domaines, les administrateurs soulignent qu'il importe de continuer de collaborer avec les organismes internationaux compétents en ce qui concerne la conception de régimes juridiques et d'arrangements institutionnels pour une résolution efficace des banques islamiques, des systèmes de garantie des dépôts et de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, ainsi que l'adaptation du dispositif conventionnel du prêteur en dernier ressort à la banque islamique » avance le texte, prenant ainsi en considération les questions et problèmes récurrents.
« Si la banque islamique représente une petite partie des actifs financiers mondiaux, elle est présente dans plus de 60 pays et est devenue importante pour le système dans 14 territoires. La banque islamique implique des opérations, des structures de bilan et des risques qui diffèrent de ceux de la banque conventionnelle » continue le Fonds monétaire international dans un communiqué.
Preuve de l’importance de la finance islamique, le Conseil d’administration de l’organisation internationale a publié deux documents dédiés à ce sujet. Le texte explique en effet qu’il « est nécessaire de mettre en place un environnement qui favorise la stabilité financière et le développement sain de la banque islamique, y compris sur le plan du cadre juridique, du dispositif prudentiel, du filet de sécurité financière, de la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, ainsi que de la gestion des liquidités. »
Des conseils techniques, partie de la mission dont s’est dotée le FMI, sont donc proposés pour que les Etats concernés puissent avoir des clés de compréhensions et d’action. « Les administrateurs soulignent qu'il importe de mettre en place des régimes de résolution robustes qui sont propres aux banques islamiques, ainsi que d'autres filets de sécurité financière pour les pays où opèrent des banques islamiques. Notant la lenteur des progrès accomplis dans ces domaines, les administrateurs soulignent qu'il importe de continuer de collaborer avec les organismes internationaux compétents en ce qui concerne la conception de régimes juridiques et d'arrangements institutionnels pour une résolution efficace des banques islamiques, des systèmes de garantie des dépôts et de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, ainsi que l'adaptation du dispositif conventionnel du prêteur en dernier ressort à la banque islamique » avance le texte, prenant ainsi en considération les questions et problèmes récurrents.