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Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique que « depuis le début de la semaine, la rémunération du PDG de PSA fait l'objet d'une polémique, Carlos Tavares ayant gagné 5,24 millions d'euros en 2015. »
L’article du Point souligne ainsi qu’ « une très large majorité de Français est favorable au plafonnement des salaires des dirigeants d'entreprises dont l'État est actionnaire, selon un sondage OpinionWay pour Tilder et LCI, publié jeudi, après la polémique sur la rémunération du patron de PSA Peugeot Citroën. »
On y apprend que « l'idée est plébiscitée par 86 % des Français, dont 57 % qui s'y disent "tout à fait favorables" et 29 % "plutôt favorables". La proportion atteint même 95 % chez les salariés du public et les électeurs de François Hollande en 2012. Ce sondage a été réalisé sur Internet les 30 et 31 mars, sur un échantillon de 1 001 personnes représentatif de la population française, âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. »
L’article du Point souligne ainsi qu’ « une très large majorité de Français est favorable au plafonnement des salaires des dirigeants d'entreprises dont l'État est actionnaire, selon un sondage OpinionWay pour Tilder et LCI, publié jeudi, après la polémique sur la rémunération du patron de PSA Peugeot Citroën. »
On y apprend que « l'idée est plébiscitée par 86 % des Français, dont 57 % qui s'y disent "tout à fait favorables" et 29 % "plutôt favorables". La proportion atteint même 95 % chez les salariés du public et les électeurs de François Hollande en 2012. Ce sondage a été réalisé sur Internet les 30 et 31 mars, sur un échantillon de 1 001 personnes représentatif de la population française, âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. »
Le salaire qui fait scandale
Par ailleurs, depuis quelques jours, « la rémunération du président du directoire du constructeur automobile PSA fait l'objet d'une polémique, Carlos Tavares ayant gagné 5,24 millions d'euros en 2015, soit près du double de l'année précédente. Le ministre des Finances, Michel Sapin, a fait savoir que l'État, actionnaire du groupe à hauteur de 14 %, avait voté contre cette hausse jugée "dommageable", tandis que le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, a estimé que Carlos Tavares avait "tort de faire abstraction de la sensibilité des Français" sur le sujet. La rémunération des patrons français constitue un sujet de polémique récurrent. »
L’article du Point ajoute que « le gouvernement, après avoir plafonné en 2012 la compensation des dirigeants d'entreprises publiques à 450 000 euros par an, s'est déjà prononcé ces dernières années contre les rémunérations jugées excessives des patrons de plusieurs grands groupes dont il est actionnaire, dont Renault, Safran et Thales. L'État a ainsi voté en 2015 contre la rémunération du PDG de Renault, Carlos Ghosn, qui s'était alors élevée à 7,22 millions d'euros. Le prédécesseur de Mario Tavares chez PSA, Philippe Varin, avait de son côté dû renoncer en 2013 à une retraite-chapeau de 21 millions d'euros après une avalanche de critiques. »
Lire l'intégralité de l'article du Point ici.
L’article du Point ajoute que « le gouvernement, après avoir plafonné en 2012 la compensation des dirigeants d'entreprises publiques à 450 000 euros par an, s'est déjà prononcé ces dernières années contre les rémunérations jugées excessives des patrons de plusieurs grands groupes dont il est actionnaire, dont Renault, Safran et Thales. L'État a ainsi voté en 2015 contre la rémunération du PDG de Renault, Carlos Ghosn, qui s'était alors élevée à 7,22 millions d'euros. Le prédécesseur de Mario Tavares chez PSA, Philippe Varin, avait de son côté dû renoncer en 2013 à une retraite-chapeau de 21 millions d'euros après une avalanche de critiques. »
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