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Le liquide pour les petits achats mais la carte bleue ou les chèques pour le reste. En France l’utilisation du liquide est beaucoup moins automatique que dans la plupart des pays européens. C’est ce que montre la dernière étude de la Banque de France. « Alors que la Banque de France inaugure ce mardi 13 novembre le "Fort Knox à la française" à la Courneuve (Seine-Saint-Denis), le plus grand centre de traitement de billets d'Europe, l'institution a dévoilé lundi une nouvelle étude sur les usages des espèces. Le cash reste "le moyen de paiement privilégié dans les points de vente de la zone euro", à hauteur de "trois paiements sur quatre et plus de la moitié de la valeur des achats", relève cette étude, qui exploite les données françaises d'une enquête sur l'utilisation des espèces dans la zone euro, publiée fin 2017 pour le compte de la Banque centrale européenne (BCE) » rapporte La Tribune.fr .
Les chiffres sont faciles à décrypter. Si l’on regarde du côté du nombre d’opérations 68% des achats sont effectués en liquide en France contre 78% en moyenne en Europe. Une proportion qui place notre pays en sixième position de ce point de vue, après les Pays-Bas, l’Estonie, la Finlande, la Belgique et le Luxembourg. Mais lorsqu’il s’agit des volumes payés, la France grimpe encore de plusieurs crans avec seulement 28% du montant total des dépenses en point de vente. Il n’y a qu’aux Pays-Bas avec 27% des dépenses que la part est inférieure. « Plusieurs raisons expliquent ces chiffres : d'une part, les paiements en espèces sont plafonnés en France (maximum de 1.000 euros à un professionnel), et d'autre part, la carte bancaire s'est imposée depuis 2003 dans l'Hexagone comme le premier moyen de paiement » contextualise La Tribune.
Les chiffres sont faciles à décrypter. Si l’on regarde du côté du nombre d’opérations 68% des achats sont effectués en liquide en France contre 78% en moyenne en Europe. Une proportion qui place notre pays en sixième position de ce point de vue, après les Pays-Bas, l’Estonie, la Finlande, la Belgique et le Luxembourg. Mais lorsqu’il s’agit des volumes payés, la France grimpe encore de plusieurs crans avec seulement 28% du montant total des dépenses en point de vente. Il n’y a qu’aux Pays-Bas avec 27% des dépenses que la part est inférieure. « Plusieurs raisons expliquent ces chiffres : d'une part, les paiements en espèces sont plafonnés en France (maximum de 1.000 euros à un professionnel), et d'autre part, la carte bancaire s'est imposée depuis 2003 dans l'Hexagone comme le premier moyen de paiement » contextualise La Tribune.